"La construction historique est consacrée à la mémoire de ceux qui n’ont pas de nom" (Walter Benjamin). "L’histoire est la science d’un changement et, à bien des égards, une science des différences" (Marc1…
Bloch). L'image est prise au coeur du monument-mémorial de Portbou dédié à Walter Benjamin ("Passages", de Dani Karavan).
Ils sont quatre sénateurs italiens de la droite berlusconienne, marqués par un passé actif dans l’extrême-droite qu’ils rêvent peut-être encore de conjuguer au présent. Ils viennent en effet de déposer un projet de loi pour abolir la norme constitutionnelle qui interdit la reconstitution du parti fasciste.
« Jusqu’ici prudente sur la question de la sortie du nucléaire, écrit l'Agence télégraphique suisse, l’UDC entre dans le débat et propose ses pistes. Freiner l’immigration permettrait de réduire le besoin en énergie, explique en substance le président du premier parti de Suisse Toni Brunner dans le journal alémanique Sonntag. »
Au cours de l’histoire, les discours de repli sur soi ont déjà connu des précédents et un certain succès au sein de l’espace helvétique. Par exemple, durant la Seconde Guerre mondiale, face à ses voisins directs, les régimes fasciste et nazi, la Suisse appliquait la « politique du hérisson » et invoquait le mythe du « Réduit national » dans lequel, au cœur des Alpes, toutes les élites du pays se seraient rendues imprenables en se cachant.
Ce 27 janvier 2011 marquait comme chaque année la commémoration de la Journée de la mémoire de l'Holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité. Cette date correspond à l'arrivée de l'Armée rouge dans les camps de concentration et d'extermination d'Auschwitz et Birkenau en 1945. Or, cette commémoration n'a pas lieu avec la même intensité dans tous les pays qui l'ont adoptée, ni dans toutes leurs écoles. Et il vaut la peine d'y réfléchir.
Le soir même où tous nos yeux étaient rivés à la Tunisie enfin débarrassée de Ben Ali, un dépouillement singulier se terminait à Turin, dans les usines de la Fiat du site de Mirafiori. Il s’agissait de savoir si quelques milliers de travailleurs avaient approuvé par référendum un accord forcé qui les privait gravement de droits.
« L’indignation comme telle, moi, je trouve cela un peu pathétique de la part de ce vieux monsieur ». Ces propos ont été prononcés sur la Radio suisse-romande par l’ancien conseiller fédéral Pascal Couchepin à l’encontre de Stéphane Hessel et de son petit livre Indignez-vous !
L’une des dernières décisions du président brésilien Lula aura donc été de ne pas laisser extrader Cesare Battisti en Italie où il a été condamné à perpétuité par contumace.
Ou alors, si, Federer a battu Nadal ! Premier sujet abondamment traité en première partie des informations de 22h30 sur la radio suisse romande ! Ce n’est ainsi que dans un second temps qu’il a été question du vote sur le renvoi systématique desdits criminels étrangers…
Il s’appelle Marcel Graf, c’est un citoyen helvétique. Au sein de sa famille, une jeune femme a été la victime d’un assassinat odieux. Il mène donc un combat contre la Justice qu’il trouve beaucoup trop laxiste.Aussi a-t-il lancé, avec quelques autres, une initiative populaire pour faire inscrire dans la Constitution fédérale le principe de la peine de mort