A Bruxelles le 15 juin, la diaspora Iranienne se retrouvera pour défiler dans les rues de la capitale Belge. L’objectif de cette manifestation qui s’inscrit dans un long combat est double: sensibiliser la population Européenne au quotidien vécu par les Iraniens sous la tyrannie des mollahs, et demander à l’UE de cesser sa politique de complaisance avec le régime islamiste.
Le tribunal de Hambourg interdit à Der Spiegel de colporter des allégations mensongères contre les Moudjahidine du Peuple d'Iran.
Les allégations concernant la « torture » et l'entraînement à diverses méthodes d’assassinat sont fausses. Les principes d’autorisation de publication de soupçons n'ont pas été observés. L’OMPI et le Conseil national de la Résistance iranienne n’ont pas été entendus.
Les manifestations qui ont commencées en Iran fin 2017, se sont étendus à tout le pays et à toutes les couches de la société. Ces démonstrations populaires sont très différentes des précédentes car elles sont sans précédent dans la diversité des messages.
Depuis 40 ans, l’animosité envers les femmes constitue la pierre angulaire de l'intégrisme islamique au pouvoir en Iran. Le Parlement exhorte l'Iran à arrêter de criminaliser le travail des défenseurs des droits des femmes, notamment le travail réalisé par les manifestants pacifiques contre la loi obligeant à porter le voile, et appelle les autorités à mettre un terme à cette pratique.
Ebrahim Raïssi est un ennemi juré de l’Organisation des Moudjahidine du Peuple d’Iran (OMPI) et sa nomination illustre la volonté de Khamenei de sévir durement contre la principale force de résistance qui a réussi à étendre son influence en Iran ces derniers mois et participe activement à organiser et diriger les « foyers de résistance ».
Cela fait longtemps qu’Ali Khameneï cherchait à imposer le sinistre Ebrahim Raïssi dans les plus hautes sphères de l’Etat. C’est fait, il vient d’être nommé à la tête du pouvoir judiciaire iranien dont le but est de museler la société iranienne.
Une figure extrêmement controversé, Ebrahim Raïssi, vient d’être nommé la tête de l’appareil judiciaire du régime iranien. Il prendra ses fonction vendredi. Il est l’une des figure clé du massacre des prisonniers politiques en 1988. Son nom figure sur les rapports publiés sur ce massacre par Amnesty International et le Justice for Victims of 1988 Massacre in Iran (JVMI).
Après les reproches qui avaient été faits aux réseaux sociaux sur le non contrôle de la propagande émanant d’un état lors des dernières élections américaines, Facebook, Google et Twitter n’ont cette fois pas attendu de se faire reprendre par les institutions pour renvoyer les hackers iraniens à leurs études.
The National Scotland - Par Greg Russell: Le cyberespace est un champ de bataille privilégié pour les guerres de l’information livrées actuellement par la résistance iranienne et le régime des mollahs ; c’est un sujet auquel les deux côtés consacrent beaucoup de temps et d’efforts.
Le quotidien britannique The Independent a publié le 5 février 2019 un billet sur le terrorisme du régime iranien contre l'opposition démocratique sur le sol européen, notamment en France.