Troisième billet de la série « De la solidarité à la fraternité: perspectives socialistes et universalistes ». On y abordera des réflexions sur la notion d'intersectionnalité en nous appuyant sur le concept de "consubstantialité" proposé par la sociologue Danièle Kergoat. On esquissera aussi une potentielle stratégie socialiste de l'antiracisme, avec Florian Gulli.
Second billet de la série « De la solidarité à la fraternité: perspectives socialistes et universalistes ». Nous aborderons la question de l'accueil des exilé'es et celle de la laïcité, dans la perspective d'un républicanisme fraternel et d'une réappropriation du combat laïque.
Premier billet de la série « De la solidarité à la fraternité: perspectives socialistes et universalistes ». Nous aborderons la force des émotions dans les démocraties avec Eva Illouz. On abordera aussi une réflexion sur les populismes et la politique du ressentiment en contexte néolibéral, avec l'essai d'Eric Fassin « Populisme: le grand ressentiment » (2017).
La France comme d’autres démocraties libérales connait des basculements majeurs. Des valeurs, une éthique et les affects civiques semblent se noyer sous des dichotomies et colères infructueuses. Toutefois, des idées de revivification démocratique et fraternelle sont émises. Retour sur des réflexions actuelles qui donnent matière à penser à gauche, sur la république, l'universel et le socialisme.
Pour beaucoup Jean-Luc Mélenchon a été le porte-voix des luttes sociales et l’instigateur de superbes dynamiques électorales. Sans mandat aujourd’hui, il parvient à être écouté par sa postérité et ses écrits sur son blog. Avec son départ de l’Assemblée et ses derniers échecs, peut-être est-il venu le temps d’une réflexion sur ses desseins et son rôle à gauche.
« Changeons le système pas le climat ! » Le climat est-il devenu une entité unique que l’Humain·e doit protéger avant tout ? Retour sur un objet politique et sur un discours qui couvent des risques.
Accompagné de camarades parisien·nes, je me suis rendu à la manifestation de ce jeudi, pour réclamer la régularisation et l’inscription des exilé·es dans les universités françaises. Suite aux prises de paroles, nous avons décidé de soutenir les étudiant·es qui occupaient le bâtiment du Rectorat de Paris, alors pris en siège par les forces de la répression.
Le temps et l’attention ne sont pas considéré·es comme des biens communs. Pourtant, nous devrions le faire. Car certain·es structures politiques relèguent ceux et celles qui en sont le moins doté·es pour reproduire et renforcer leur pouvoir.