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Lors d’un précédent article datant de la présidentielle, j’avais prévu un schisme au sein de la majorité présidentielle. Rien d’extraordinaire. Une simple réflexion mêlée d’empathie menait à cette conclusion.
Aujourd’hui, il est trop tentant pour ne pas succomber de recommencer le même exercice.
Une bavure de plus. Certainement pas la dernière. En revanche, est-ce que cet incident -de trop- sera l'occasion de voir émerger un mouvement de type "Black Lives Matter" en France ? Et si, face à l'impuissance de nos instituions et des médias, les changements à venir étaient plus profonds ?
Vous connaissiez le paradoxe de l’œuf et de la poule ? Très bien. Mais connaissez-vous celui de la complexité et des contradictions ? Non. C’est normal : c’est nouveau, ça vient de sortir.
Et voyons ici comment cette théorie s'applique à notre quotidien.
En cette période de crise sanitaire, social et politique de nombreuses questions surgissent.
Et Une interrogation de taille car elle va conditionner le jeu politique internationale pour les années à venir : qui ressortira avec le moins de dégâts de cette crise sanitaire et sera le prochain arbitre des relations internationales ?
Tentative de réponse dans ce billet.
Comment juger cette affaire de masques ? Rappel du contexte : l’état est accusé d’avoir menti sur l’utilité du port de masques. Argument prétexte pour occulter l’absence de masques de protection (suffisant pour contrer l’épidémie du Covid-19).
De cette attitude beaucoup de questions pour le moins inquiétantes.
À ce qui devait être uniquement une crise sanitaire, s'ajoute une crise politique et sociale. Le mensonge et les contradictions s'ajoutant, la défiance qui était déjà haute vient s'amplifier.
Un corps biologique peut se remettre de nombreux troubles. Mais il est une maladie qui peut être fatale au corps social qui unit la société : la méfiance.
À vouloir ménager la chèvre et la choux, on finit par ne contenter personne. Des apparents bienfaits d'une position modéré, le centrisme pêche au final par un manque d'ambition. Et si la radicalité était la solution pour avancer ?
On a gagné ! Mais on a gagné quoi ? Ok, on a gagné et on serait heureux ! Pour qui ? Pour nous ou pour les autres ? Retour sur un espèce de plus en plus autocentrée : le français.
L’intelligence artificielle. Pratiquement tout le monde en a entendu parler. Tantôt en bien, tant en mal. Mais les espoirs ou les inquiétudes soulevés ne seraient-elles pas plutôt le reflet d'un questionnement sur notre place au sein de cet univers ?
On ne communique plus, on parle sans écouter l'autre. On n'informe plus, on désinforme. Quelle issue pour notre société à travers cette nouvelle façon d'échanger, d'interagir et de rapporter les faits ?