Beaucoup ne veulent ni de Macron ni de Le Pen. Mais on entend dire qu'avec Le Pen toute opposition serait muselée, tandis qu'avec Macron on pourrait au mois continuer à manifester, pétitionner, se mettre en grève, etc. Prudence !
Nous voici une nouvelle fois confrontés au chantage du "vote républicain", dans lequel l'élément clé est le score du Front national, qui joue le rôle d'épouvantail. Mais c'est le mode d'élection présidentiel prévu par la constitution qui le rend possible.
Pour les libéraux et leur porte-parole Macron, l'uberisation c'est une formidable opportunité, un moyen de vaincre le chômage et de résoudre le problème des banlieues. En réalité, un pas de plus vers la « liberté d'entreprendre ». C’est l’exploitation du travail sans les inconvénients de l’esclavage institutionnel et du salariat, et c'est une histoire d'exploitation déjà ancienne et déjà vue.
J'ai comparé les programmes de Poutou 2017 et de l'Avenir en commun (version papier) pour l'élection présidentielle, sur les chapitres intitulés "combattre le réchauffement climatique" (NPA) et "La transition écologique, enjeu central" (France insoumise). Je me suis basé sur le premier, plus court, que j'ai repris point par point ci-dessous en comparant avec ce qu'on trouve dans le deuxième.
On a largement souligné la filiation politique, revendiquée par François Fillon lui-même, avec Margaret Thatcher. Mais il en existe une autre, moins avouable et dont on n’a pas parlé : celle avec Augusto Pinochet.
Ces derniers jours Monsieur Macron tient « table ouverte », à Londres dans un de ces endroits feutrés dont les Anglais ont le secret ! Quoi qu’il en soit c’est pour « en finir avec cette France bloquée, ligotée, belle au bois dormant, qui aurait enfin trouvé son prince » que l’homme se démène.
En ces temps de réforme du collège et autres débats de société, il est intéressant de se pencher sur le projet éducatif rédigé en pleine révolution, à la charnière des années 1792 et 1793, par Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau. On mesure alors un peu mieux quelle sorte de « progrès » nous avons accompli en plus de deux siècles.
Il a pas mal été question, après le passage de Jean-Luc Mélenchon à l'émission "Des paroles et des actes" le 26 mai dernier, de la manipulation (ou de l'erreur) commise par le journaliste François Lenglet en mettant en cause l'invité, par Evo Morales interposé. Mais il me semble qu'on n'a pas tout dit sur cet "incident" et sur ce qu'il révèle de la conception que se fait M. Lenglet de son métier.
David Habib, membre du Parti socialiste et député des Pyrénées-Atlantiques, réagit de façon musclée au "sommet du pétrole" qui s'est tenu à Pau du 5 au 7 avril 2016 : "Nous avons aujourd’hui la démonstration de ce que ces extrémistes sont capables de faire. Aucune utopie ne saurait justifier la folie et la violence."