Je ne sais pas écrire autrement que dans une certaine urgence. Je n'ai pas de thème véritable si ce n'est le temps : le présent et celui qui passe.
Un jour, au cours d'un voyage au Guatemala un autochtone1…
m'avait dit : "Ici, l'heure, c'est quand on est prêt". J'essaie, dans cette petite activité annexe d'écriture, de me conformer à ça. Autrement dit, il n' y a pas de ligne ici. Juste des sortes de confettis.
Et l'affaire Ramadan détrôna, dans nos colonnes hexagonales, l'affaire Weinstein.... Sur fond d'accusation de viol et de harcèlement ressurgirent des querelles rances.
La nouvelle présidence affiche ses muscles : communication, symboles, verbe et présence "maîtrisée". Certains s'émerveillent, j'aurais tendance à m' inquiéter.
C'est une pochade (pas très relevée sans doute mais je ne puis) parce qu'il n'y a pas de quoi rire et les temps sont trop dévoyés pour oser comparer cette période électorale avec une aimable compétition de vachettes.
Je ne sais pas poster correctement les vidéos mais pour ceux qui s'aventureront ici, un modeste pastiche de la belle chanson de Georges Brassens. Qui marche à peu près.
Voter or not voter à la primaire de droite (et du centre) quand on est de gauche. Quand des militants de droite viennent vous engager à laisser là vos scrupules