L’ONU a fait du 25 novembre la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Si elle porte une image paradoxale des femmes depuis ses origines, à la fois en victimes et combattantes, il se pourrait que cette année elle dépare à la France davantage d’espoir.
Il arrive que des militantes féministes paient un prix inadmissible pour leurs convictions, à moindres frais pour le système. Trois militantes à suivre et à aider, chacun.e avec nos moyens…
Le site French Bukkake diffusait des vidéos pornographiques d’extrême violence. Pour tourner ces viols bien réels, il a eu recours à la manipulation et l’abus psychologique. Un procès est en cours.
Des pays européens ont ouvert leurs compagnies nationales de chemin de fer à la concurrence, le tour de la France est venu. Je ne suis ni spécialiste ni cheminote, mais je suis arrière-petite-fille de cheminots et j’ai toujours ressenti ce moyen de transport comme un membre de la famille. Je sais qu’une vision du monde et de la société lui sont associées.
A la suite de plusieurs cas très médiatisés de violence sexuelle, la problématique de la victimisation secondaire a occupé ces semaines l’actualité. Un chantier crucial pour progresser en matière d’égalité du point de vue judiciaire.
A la suite de violences subies j’entends parler de cette pratique depuis cinq ans à Nice et je risque aujourd’hui le licenciement. De lassitude, donc, pour faire quelque chose, je fais le point.
L’institution Notre-Dame de Bétharram est revenue à l’actualité pour l’atteinte grave aux droits humains que permettaient ses pratiques d’enseignement, autoritaires et maltraitantes. L’affaire soulève des questions de fond.
Le mois de février a apporté son lot de rituels de la Saint-Valentin. Je reproduis des extraits du chapitre consacré au vécu sexuel et au cadre hétéronormatif de mon essai Pour une non-violence politique (éd. Vérone).