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L’été pointe son nez, Paris capitale, prend des allures de Paris provinciale. L’ingrédient nécessaire, pour cette transformation, c’est le soleil. Des rues désertes, trottoirs et chaussées, à la merci des 30 degrés Celsius qui tombent de l’astre, émanent des odeurs variées.
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Mon doc me dit souvent, avec une pointe de rage dans la voix, avant ça n’existe pas , interrompant, sans coup férir, mes tentatives de me référer à un état de mon corps d’avant. Je m’autorise quand même à me souvenir de quelques trucs.
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Ce matin j’ai une cosse ! Je m’y mets quand même, parce que j’ai entendu à la radio, une des journalistes que je déteste le plus
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Vous savez à quoi je rêvais, la nuit dernière, dont je me souvenais ce matin ?
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La séquence Macron d’hier, avait quelque chose de surréaliste. Le président de la République s’adresse, une fois de plus, à la population pour lui donner une todo list. Il se comporte comme un chef de bureau qui fait un stand-up meeting pour donner des instructions à ses subordonnés.
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Vous allez me dire que je radote à propos des journalistes, je sais, ils ont des excuses, il faut bien gagner sa croûte. Mais quand même, ouvrir un journal en égosillant, le milliardaire britannique Richard Branson, s’apprête à griller la politesse à un autre milliardaire, Jeff Bezos, dans la course à l’espace, blablabla !
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La vie, à partir d’un moment, disons d’un certain âge, de l’énergie que vous contenez encore, de l’envie qui vous tient à la verticale, du désir, qui vous fait apprécier l’horizontale, a tendance à perdre de ses attraits.
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L’équilibre de la terreur, ça vous dit ? La capacité des blocs à se détruire mutuellement, et l’humanité avec ... l’arme atomique, les missiles ... si, si, de Cuba, les missiles. On vivait en permanence à deux doigts de la destruction totale.
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L’affaire des terrasses, vous n’en avez pas entendu parler ? Normal, c’est le genre de news compliquée à traiter sans passer pour un complotiste ou un golio.
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L’abstention massive aux élections de l’autre dimanche, n’est pas seulement une défaite de la démocratie, c’est aussi une défaite de la république. C’est la vérification, la preuve, que l’élection qui intéresse les Français est celle du chef.