Blog suivi par 12 abonnés

Le blog de Serge Métais

  • Sur la sortie de route de l'ambassadeur chinois

    Par | 11 commentaires | 4 recommandés
    La position officielle chinoise sur l’intégrité territoriale de l’Ukraine est ambiguë. La Chine ne reconnaît pas les annexions. Mais, elle se refuse à demander le retrait de l’armée russe des territoires occupés. La sortie de route de l’ambassadeur Lu Shaye trahit la difficulté à gérer cette ambiguïté.
  • Pékin veut tourner la page Poutine

    Par | 14 commentaires | 9 recommandés
    Dans mon dernier billet, j’écrivais que les dirigeants chinois savent ce qui se trame actuellement à Moscou et « se projettent déjà dans l’après Poutine ». Les réflexions qui suivent visent à conforter cette hypothèse.
  • Traduction de Lovouchka 22

    Par | 2 recommandés
  • « Lovouchka 22 » : écarter Poutine pour sauver son système

    Par | 4 commentaires | 7 recommandés
    « Lovouchka 22 » est un film documentaire de propagande russe, diffusé sur YouTube. Son message pourrait constituer la base du narratif que le pouvoir russe utiliserait bientôt, après la mise à l’écart de Vladimir Poutine. Il justifierait l’arrêt de la guerre et conduirait au retrait de l’armée russe des territoires qu’elle occupe encore en Ukraine, y compris la Crimée.
  • Renoncer à la dissuasion nucléaire. Un préalable à la création de l'Armée européenne

    Par | 3 commentaires | 3 recommandés
    La création de l’Armée européenne permettrait à l’Europe de peser dans la perspective de la libération de l’Ukraine et de l’avènement d’une nouvelle Russie, débarrassée du régime criminel de Poutine. Le renoncement à l'arme nucléaire par la France est un préalable. Il devrait aussi s'accompagner d'un retrait des armes nucléaires américaines du sol européen.
  • Vers la création de l'Armée européenne. Pour une initiative de la France

    Par | 8 commentaires | 4 recommandés
    Pour montrer sa détermination dans la création de l'Armée européenne, la France prendrait deux décisions importantes : elle abandonnerait la dissuasion nucléaire et elle proposerait que l’Union européenne prenne sa place au Conseil de sécurité des Nations Unies.
  • Guerre en Ukraine. Ce que Poutine craignait, "c'était l'influence culturelle"

    Par | 1 commentaire | 3 recommandés
    Poutine savait très bien que la Russie n’était menacée par aucune agression militaire des Etats-Unis et de leurs alliés européens. Ce qu’il craignait, c’était l’influence culturelle, et particulièrement la culture démocratique libérale de l’Occident.
  • Guerre en Ukraine. De l'usage de l'outrance chez Poutine

    Par | 3 commentaires | 10 recommandés
    Pourquoi tant d’outrance évidente dans le discours poutinien ? Une « junte fasciste » aurait pris le pouvoir à Kiev en 2014. Il faudrait aujourd'hui « dénazifier » l’Ukraine. Les Russes seraient menacés d'un génocide en Ukraine. Tout cela interroge sur la santé mentale d’un chef d’État, à la tête d’une puissance nucléaire, sur sa perte de contact avec la réalité.
  • La guerre du fou

    Par | 12 commentaires | 14 recommandés
    Le scénario du pire a commencé en Ukraine. Telle était la volonté d’un chef d’État pris de folie. Une maladie dont les prodromes sont apparus dès son arrivée au pouvoir, en 1999, avec les procédés monstrueux auxquels il eut recours dans le déclenchement de la deuxième guerre de Tchétchénie.
  • Mystification russe sur un casus belli en Ukraine

    Par | 70 commentaires | 48 recommandés
    L'ultimatum adressé à l’OTAN relevait de la mystification. Contrairement à ce qu’il laissait entendre, Vladimir Poutine ne fera pas un casus belli du refus d’obtempérer sur les garanties de sécurité exigées. Il déclenchera la guerre pour d’autres raisons. Ces raisons sont dans l’est et le sud de l’Ukraine.