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Alors que nous étions des milliers à attendre un texte de loi qui serait une avancée spectaculaire dans la lutte contre les violences sexuelles commises sur des enfants, contre l'inceste, nous voilà avec une loi votée par une poignée de députés, vide de sens. Un coup de communication, rien de la promesse du gouvernement.
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Rencontre avec Mariscal, à l'occasion de la sortie de son premier album "Plus le temps".
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2017 arrive, et les politiques, font polémique avec ce qu’ils ont sous la main, ils dramatisent, déforment, stigmatisent. Dans le but d’attirer des électeurs de droite, ou de très à droite. Même Valls s’y met, celui là n’en perd jamais une miette en opportuniste qu’il est.
Allez-y, regardez le burkini, indignez-vous devant ces femmes, pendant ce temps là, Daesh et les fachos s'en réjouissent.
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Il y a quelques jours, un attentat à Bagdad a fait plus de 250 morts et plus de 400 blessés. Avez-vous remarqué que les médias ont surtout mis en avant l’Euro de football ?
Avez-vous remarqué que les premières victimes de DAESH sont Syriens, Kurdes, Irakiens… Arabes et musulmans notamment. Pourquoi ces morts nous sont-ils étrangers ?
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Parce que parfois, les mots n'ont pas le sens qu'on leur donne. On ne mélange pas tout... C'est de crimes qu'il s'agit, de viols d'enfants... Pas "d'attirance sexuelle"... Des agressions.
Des viols, sur des enfants qui n'ont rien demandé.
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A en croire les réactions contre le cardinal Barbarin et l’Eglise en général, on pourrait penser qu’en France les gens se sentent concernés par la pédocriminalité et qu’ils la condamnent massivement et fermement. Ce pourrait être rassurant si toutefois ces réactions étaient cohérentes, incluses dans une démarche globale de dénonciation des crimes et agressions pédophiles.
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Où sommes-nous quand un môme de 15 ans prend un coup de poing en pleine figure de la part d’un policier qui estime avoir tous les droits ? L’État d’Urgence est là désormais pour justifier les dérapages.
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Où sommes-nous quand un môme de 15 ans prend un coup de poing en pleine figure de la part d’un policier qui estime avoir tous les droits ? Où sommes-nous quand un général de gendarmerie qui vend son livre déclare à la télé concernant ce coup de poing violent et choquant que c’est un geste « étonnant » ?
L’Etat d’Urgence est là désormais pour justifier les dérapages...
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Une nouvelle expulsion s'annonce, qui, comme toutes les précédentes ne règlera rien. L’Etat ne semble, une nouvelle fois, pas savoir gérer la situation, et encore moins l'anticiper.
Tout est fait, encore, en dépit du bon sens et dans le déni des réalités pourtant clairement exposées par les associations. De postures politiques en déclarations populistes, le gouvernement montre sa faiblesse.
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Plutôt que de menacer de déchéance ceux qui n’en ont strictement rien à faire, l’Etat aurait dû valoriser la jeunesse qui tient debout et reste unie quand on assassine sa culture, sa joie de vivre et ses possibilités d’avenir… Il aurait dû trouver le moyen de préserver l’union fraternelle de tous ceux qui, le 11 janvier 2015, refusaient de plier devant la menace.