On sait tout ce que le Christianisme doit au Judaïsme. L’inverse serait difficile à démontrer; le Judaïsme ne doit évidemment rien au Christianisme. C’est ce qui pose problème dans le terme « judéo-chrétien ». Il est à sens unique. Par essence, le judéo-chrétien est chrétien. Il ne peut pas être juif. Et pour cause, le Catholicisme est la négation du Judaïsme.
« Le 17 octobre 1961, des Algériens qui manifestaient pour le droit à l'indépendance ont été tués lors d'une sanglante répression. La République reconnaît avec lucidité ces faits. ». La République Française a donc substitué la lucidité à la vérité. Car, il y a, au moins, trois contre-vérités dans la première phrase.
Je suis contre le vote des étrangers. Par définition, un étranger est étrange. Il n’est pas d’ici. Il vient d’ailleurs. Il n’appartient pas à notre famille, notre ville, notre groupe de gens d’ici. Il ne nous est pas familier. On ne le connaît pas puisqu’il est étranger. Il n’a aucun rapport avec nous; En un mot, c’est un étranger !
Comme dans la langue chinoise, le mot arabe est idéogramme. Il n’a rien de défini, n’est jamais figé, est toujours prêt à se transformer. Chaque mot en invite un autre, puis un deuxième et une famille se forme, selon un procédé précis et continu qui multiplie la syntaxe à l’infini.
Il est une expression qui revient souvent dans les journaux pour décrire l'Apocalypse : ''Ils veulent appliquer la sharia''. ''Ils'', ce sont les démocrates de confession musulmane. ''Ils'', ce sont ceux qui parlent arabe.
Raymond Domenech, quand il était entraîneur de l'équipe de France parlait de "critères non visibles" pour expliquer la non-sélection de Karim Benzema, Adil Rami, Samir Nasri et Hatem Ben Arfa pour la coupe du monde 2010.