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Les élections municipales ont donc lieu dans moins d’un mois, et l’espace politique français est dominé par cette échéance, qui occupe la plus grande partie du débat public. Sans doute est-ce une raison pour prendre un peu de recul et s’interroger sur ce que signifient réellement ces élections.
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Le président de la République a annoncé, à Mulhouse, le 18 février, que, dans le cadre de la lutte engagée contre ce qu’il appelle le séparatisme, il serait mis fin à l’enseignement des langues et des cultures d’origine. C’est une mesure grave dont il importe de comprendre toutes les significations.
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La médiation consiste dans une relation constante d’échange entre le psychisme et le politique. La perspective de la médiation permet de penser le politique en se fondant sur des concepts issus de la rationalité du psychisme, de la même manière qu’elle nous rappelle que le psychisme se pense, lui aussi, dans une perspective politique.
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Donc, ça y est : depuis le 1er février, la Grande-Bretagne ne fait plus partie de l’Union européenne. Ce qui était une sorte de hantise des médias et des discours politiques sur l’Europe est devenu une réalité. Sans doute est-ce l’occasion de réfléchir de façon un peu approfondie sur les significations de ce que l’on appelle le « Brexit », mais, au-delà, sur ce qu’est devenue l’Union européenne.
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Nous achevons aujourd’hui la réflexion critique sur l’économie politique engagée au début de l’année. Noua allons aborder trois points importants : la relation entre l’économie politique et l’écologie, la recomposition de l’économie politique dans le cadre de la mondialisation et la question de la place du travail dans l’économie politique
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Nous nous proposons de poursuivre la réflexion engagée depuis le début du mois de janvier, en partie suscitée par le mouvement de protestation contre le projet de réforme des retraites, sur l’économie politique et sa place dans la société
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Nous avons entrepris, la semaine dernière d’élaborer une nouvelle rationalité politique de l’économie, une nouvelle façon de penser l’économie politique. Nous allons poursuive cette réflexion en tentant de comprendre comment l’économie politique se distingue fondamentalement du libéralisme.
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La confrontation qui a lieu en ce moment au sujet du projet de réforme des retraites engagé par le gouvernement d’É. Philippe sous l’autorité d’E. Macron pousse à repenser l’économie politique, et, à réfléchir, au-delà de la question des retraites elles-mêmes, à la place qu’y occupe le travail
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Nous sommes entrés dans la période des vœux : en s’échangeant les vœux, on formule, en même temps, des souhaits pour l’avenir proche – et, sans doute, aussi, pour l’avenir plus lointain. Ce que nous souhaitons formuler aujourd’hui, c’est qu’à l’issue de toutes les tensions diverses que notre pays a connues, nous finissions par retrouver la signification de la politique, le sens de l’engagement.
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À la fois après les fêtes de Noël et dans l’attente du jour de l’an et dans le cycle politique engagé par les projets de réforme des retraites, il nous semble important d’articuler ces projets et leur signification politique et sociale à l’expression, une fois de plus, de la violence du libéralisme.