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Édition Nous sommes tous en réserve (de la République)
Après Pagès, Amigorena, Bégaudeau, Jauffret, Salvayre, Velut, Rosenthal, Audeguy et Frédérique Clémençon, Thierry Hesse revient sur «cette France-là», ses monstres et le devoir de réserve qu'on entend imposer aux écrivains.
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Édition Nous sommes tous en réserve (de la République)
J'aurais beau vous recompter chacun pour soi,sans eux, y a plus personne entre ton toi et le mien ;et comme moi privé du leur ne fait nous que de majesté,
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Édition Nous sommes tous en réserve (de la République)
Après Amigorena, Bégaudeau, Jauffret, Salvayre, Velut, Rosenthal et Audeguy, Frédérique Clémençon revient sur «cette France-là», ses monstres et le devoir de réserve qu'on entend imposer aux écrivains.
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Édition Nous sommes tous en réserve (de la République)
Après Jauffret, Bégaudeau, Salvayre, Velut, Rosenthal et Audeguy, Santiago H. Amigorena revient sur «cette France-là», ses monstres et le devoir de réserve qu'on entend imposer aux écrivains.
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Édition Nous sommes tous en réserve (de la République)
Après Régis Jauffret, François Bégaudeau, Lydie Salvayre, Stéphane Velut et Olivia Rosenthal, Stéphane Audeguy revient sur «cette France-là», ses monstres et le devoir de réserve qu'on entend imposer aux écrivains.
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Édition Nous sommes tous en réserve (de la République)
Après Régis Jauffret, François Bégaudeau, Lydie Salvayre et Stéphane Velut, Olivia Rosenthal revient sur «cette France-là», ses monstres et le devoir de réserve qu'on entend imposer aux écrivains.
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Édition Nous sommes tous en réserve (de la République)
Après Régis Jauffret, François Bégaudeau et Lydie Salvayre, le romancier Stéphane Velut revient sur «cette France-là» et ses monstres.
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Édition Nous sommes tous en réserve (de la République)
Après Régis Jauffret et François Bégaudeau, la romancière et psychiatre Lydie Salvayre revient sur les monstres de «cette France-là».
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Édition Nous sommes tous en réserve (de la République)
Monstrueuse. La France de Sarkozy est monstrueuse. Réflexe sain : se priver de gloser à outrance le mot, ne pas lui faire dire plus que Marie NDiaye n'a voulu en dire dans le flux d'une interview. Le recevoir dans son approximation. « Monstrueuse » est venue comme ça
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Édition Nous sommes tous en réserve (de la République)
La notion même d'identité française me dégoûte. Cette façon de vouloir faire entrer les gens dans un vieux caleçon. Je ne suis qu'un lâche parmi les lâches, incapables de mourir au Chemin des Dames. Quand on se dit fier d'être français, on accepte de mourir pour la France. On est prêt à crever ventre ouvert pour sauver un mètre de clairière, une chaumière abandonnée, un centimètre de frontière.