En attendant Nadeau a un an : plus de 20.000 internautes nous lisent chaque mois dans 25 pays. Nous avons publiés près de 600 articles, comptons plus de 120 contributeurs. Et voici notre numéro 24.
Deux événements notables cette semaine : le premier anniversaire d’En attendant Nadeau, notre revue numérique en ligne, qui prospère malgré la modestie de ses moyens, et l’intronisation à Washington d’un milliardaire à la personnalité flamboyante.
L'Équateur est le nom d'un pays, réel, et d'une ligne, imaginaire, séparant le Nord du Sud. Edwin Madrid a écrit « Au Sud de l'équateur », un recueil de poèmes, lors de voyages à Paris, en Suisse, au Nicaragua ou à Neuquén en Argentine, mais aussi à Saint-Nazaire.
Samedi 28 janvier, à 9h30, au théâtre du Vieux-Colombier, Jean Lacoste parlera des revues avec Johan Faerber de Diacritik et Dominique Dupart (revue Vacarme).
Du 11 janvier au 5 février 2017, au Théâtre de la Tempête (salle Copi), Gilles Bouillon met en scène l'Urfaust de Goethe d'après une traduction de Jean Lacoste et Jacques Le Rider. Représentations du mardi au samedi à 20h30, le dimanche à 16h30.
Parce que nous essayons de réfléchir à la portée du geste critique, nous mettons à la Une les recensions de deux ouvrages qui pensent avec la littérature. "Styles", de Marielle Macé, et "La littérature au laboratoire", dirigé par Franco Moretti, illustrent les chemins divergents de la critique actuelle.
2016 a été l’année de création du journal en ligne En attendant Nadeau (en janvier). Notre lectorat pionnier nous a été fidèle et a été rejoint par de très nombreux lecteurs : 21.886 visiteurs uniques en novembre, près de 200.000 pages vues !
Quelle relation la littérature entretient-elle avec le réel ? Le réel n’est-il pas à la fois son aliment et sa visée ? En attendant Nadeau lance le débat. 3e chronique judiciaire : Sous le lustre.
Le jeudi 12 janvier, dans le cadre d'une série de rencontres liées à l'exposition "La Pente de la rêverie" à la maison Victor Hugo (jusqu'au 23 avril 2017), Marie Etienne d'En attendant Nadeau dialoguera avec Bernard Chambaz.
C'est une coïncidence intéressante, pour ceux qui pensent que les coïncidences existent (pas les espions, donc) : Kim Philby apparaît deux fois dans notre numéro 22. Dans l'anti-récit de soi que nous livre John le Carré ("Le tunnel aux pigeons"). Et dans le livre que Peter Stephen Jungk consacre à sa parente Edith Tudor-Hart, photographe, amoureuse impénitente, et, elle aussi, espionne soviétique.