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Secrétaire de rédaction d'En attendant Nadeau, Pierre Benetti raconte la manière dont notre journal s'est adapté aux restrictions de mouvement depuis mars 2020.
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Krisztina Tóth est l'une des autrices les plus importantes de la Hongrie contemporaine. Après avoir dénoncé, dans une interview, les représentations misogynes de romans classiques obligatoires à l'école, elle est désormais la victime d'une campagne de presse féroce. En attendant Nadeau relaie son appel et sa réponse aux lyncheurs, avec une présentation de son traducteur, Guillaume Métayer.
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Les critiques d'En attendant Nadeau sont aussi en librairie, avec les livres de Philippe Artières, Pascal Engel, Alain Joubert, Liliane Kerjan, Yannick Haenel, Jean Lacoste, Marc Lebiez, Vincent Milliot, Tiphaine Samoyault, Gisèle Sapiro, sans oublier une traduction de Cécile Dutheil et les photographies de Jean-Luc Bertini.
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À l’heure où nous sommes retirés, où les librairies sont partout (provisoirement) fermées, mais où plus que jamais on a le temps de lire et besoin de le faire, En attendant Nadeau va proposer un dispositif neuf à la mesure d’un événement assez sidérant, et qui met un peu tout à plat.
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Au chapitre des essais, on s’intéressera aux logements et aux camps de regroupement dans l’Algérie en guerre, avec le livre de Samia Henni, "Architecture de la contre-révolution" ; ou encore au "Culte des images avant l’iconoclasme", avec le livre enfin traduit d’Ernst Kitzinger.
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À l’honneur, d’infatigables penseurs, qui sont aussi des hommes engagés : Pierre Vidal-Naquet, dont Sonia Dayan-Herzbrun évoque des souvenirs précis qui éclairent son action ; Étienne Balibar, dont Marc Lebiez indique les différentes manières qu’il a d’être embarqué.
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Pierre Benetti initie à l’univers "post-exotique" et apocalyptique que l’on doit à l’imagination puissante d’Antoine Volodine, alias Manuela Draeger, l’auteur de l’opus 44 d’un ouvrage qui devrait en compter 49. "Un monde sans filiation" ni transmission, où le passé n’est qu’un "autrefois sans repère".
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C’est autour de la transmission du passé que semble s’organiser la Une de ce nouveau numéro d’En attendant Nadeau.
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Avant de retrouver, au cours de la quinzaine, Marie Cosnay, Johann Chapoutot, Georges Perec et Kostis Maloùtas, écoutons pour nous apaiser les voix des oiseaux. Les poètes qui les entendent et dialoguent avec eux donnent des ailes, et donnent de l’essor à l’existence et à la pensée.
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Ulysse Baratin a lu pour En attendant Nadeau l’énorme livre de Thomas Piketty, "Capital et idéologie", qui se présente à la fois comme une histoire mondiale des inégalités économiques et comme un programme pour réduire celles-ci, fondé notamment sur une rigoureuse progressivité fiscale et un plan de redistribution novateur.