Le blog de freddy klein

J'ai pavoisé d'un drapeau aux couleurs de la France et d'un autre au couleur de l'Union européenne, comme je le fais les 11 novembre, les 8 mai et à quelques autres occasions. Je le fais, car je ne trouve pas convenable, ni concevable de laisser les représentants de la droite-extrême s'accaparer l'oriflamme tricolore de la République, ni l'hymne de la Révolution française.

"Irresponsabilité et aventurisme ", disais-je déjà il y a quelques semaines.

Je suis le patient de mon médecin, fidèle patient qui ne s'énerve jamais et ne perd pas patience quand il prend du retard dans ses consultations. Mon médecin n'est pas mon ami, ni moi le sien. Il pourrait le devenir, mais alors il cessera d'être mon médecin et moi je ne serais plus son patient.

Dans le jardin de la NUPES, jour après jour, les herbes mauvaises étouffent et annihilent le travail des jardiniers les plus patients.

Le citoyen Sébastien Jumel, député communiste, souligne qu'il ne lui paraît pas possible pour les gauches d'accorder leur confiance à la première ministre a priori, mais visiblement il ne voit aucun obstacle à vouloir censurer a priori la même, avant même qu'elle ne soit passée à l'action.

Honni soit qui mal y pense...En tout bien et tout honneur, bien sûr  ! Pas de regard répréhensible ni de main baladeuse, promis juré. Je m'empresse de vous prévenir car par les temps qui courent...Enfin nous nous comprenons.

Cette Assemblée nationale est certainement plus représentative des sensibilités politiques de la France que les précédentes. En ce sens elle préfigure ce qu'un mode de scrutin à la proportionnelle pourrait offrir.

Eric Coquerel est élu pour un an. A l'issue de ce mandat, il peut être reconduit pour un autre mandat ou révoqué démocratiquement pas ses pairs selon le règlement de l'Assemblée. En attendant, bon travail Monsieur Coquerel et soyez à la hauteur, ce dont je m'interdis de douter un seul instant.

Volker Schöndorff et Margarethe von Trotta sont deux cinéastes allemands dont les films s'ancrent dans les soubresauts politiques de leur pays d'origine tout en élargissant en permanence leur objet à ce qui nous concerne tous, que nous soyons français, italien, espagnol ou belge. Ils sont de ce fait, à mes yeux en tout cas, les plus européens des cinéastes.

El buen patron est de la belle ouvrage, en tout cas un honnête film.