Ce montage photographique est l’œuvre du site de L’Equipe dans l’édition de ce jour, qui vient illustrer l’agacement suscité par les rodomontades et la vantardise — dont le magazine L’Express, d’ordinaire si empressé à faire reluire la petite aura de l’ex, s’est fait étonnamment l’écho — de l’idole de Bernadette Chirac qui s’en va répéter partout que le vrai patron du PSG c’est lui et non pas Nasser al-Khelaïfi.
En préambule il convient de dire que si cet ouvrage souligne les incohérences de l’histoire dite officielle, les deux auteurs, Christophe Granger, historien, et Victoria Vanneau, historienne du droit, incarnent à eux deux les incohérences du système universitaire français, puisqu’après avoir enseigné dans une bonne dizaine d’universités et écumé la plupart des statuts précaires que l’Université engendre avec tant d’habileté budgétaire, ils sont désormais chômeurs des universités.
Du latin cum, avec, et dolere, souffrir, donc littéralement partager la souffrance des autres. C’est l’expression que l’on utilise pour montrer que l’on prend part à la douleur de quelqu’un lors d’un événement tragique et malheureux.
Depuis quelque temps déjà un anglicisme fait fureur dans le français écrit et parlé, et, plus précisément « dans les milieux autorisés où l’on s’autorise à penser », selon l’expression de feu Coluche. Il s’agit de la structure nominale aussi creuse qu’inepte : « une belle personne », fréquemment pluralisée, circonstance aggravante, en « belles personnes ».