Le blog de Jean-Pierre Lavaud

Comment l’occultation de la corruption et l’échec de la manœuvre qui devait permettre à Evo Morales de briguer un quatrième mandat ont conduit le gouvernement bolivien à durcir sa politique punitive.

L’émergence de ploutocrates sous couvert du socialisme du XXIe siècle. Le diagnostic commenté de Fernando Prado.

Présentation d’un livre fondamental pour comprendre les processus d’ethnogenèse en Bolivie et ailleurs, et remettre en question le caractère artificiel de nombreux discours relatifs aux identités ethniques : Enrique Herrera Sarmiento, El multiculturalismo boliviano y la invención de los indígenas tacana en el norte amazónico (IFEA, PLURAL, 2015).

La supercherie d’un gouvernement qui fait le contraire de ce qu’il affiche en matière de représentation raciale.

Récapitulation des informations officielles contradictoires relatives à la paternité d’Evo Morales. L’effet boomerang qu’elles produisent dans l’opinion bolivienne. La vision du journaliste Andrés Gómez Vela.

Les violences infligées à l’ex maîtresse du président, emprisonnée depuis un mois, sur laquelle le gouvernement aidé par son appareil judiciaire fait porter toute la culpabilité des malheurs d’Evo Morales.

Le dernier numéro de la revue trimestrielle Problèmes d’Amérique latine n°98 (3/15) vient de paraître. Il est intitulé : Situations de la démocratie

Le gouvernement bolivien tisse une toile d’araignée policière afin de se venger de ceux qui ont mis en échec son plan pour la réélection d’Evo Morales à la présidence.

L’imposture érigée en mode de gouvernement.