La paternité cachée d’Evo Morales et ses liens avec une affaire de trafic d’influence. La conduite du président à l’égard de ses enfants et de leurs mères.
L’analyse des résultats du referendum du 21 février 2016 par Jorge Lazarte, professeur de Sciences sociales, ex membre de la Cour électorale nationale, et ex vice-président de l’Assemblée constituante.
Comment les cultivateurs de coca concourent à la destruction économique, sociale et culturelle des peuples d’Amazonie, et achèvent l’œuvre de la colonisation.
Pour faire face au scandale provoqué par les soupçons de trafic d’influence qui pèsent sur lui, le président bolivien accuse les États Unis de comploter contre son gouvernement. C’est un procédé qu’il utilise systématiquement depuis les premiers jours de sa présidence, en 2006.
Argumentaire d’un opposant, professeur d'économie, à la prorogation du mandat présidentiel suivi d’un exposé personnel sur la manière dont, dès 2006, le gouvernement d’Evo Morales fait usage de la diffamation pour assurer sa domination.
À quelques jours du referendum qui doit décider d’une modification de la Constitution bolivienne permettant à Evo Morales d’être à nouveau candidat à la présidence de la République en 2019, les prises de position se multiplient.
Voici la réaction de Lupe Cajías, journaliste et historienne de renom, actuelle présidente de l’Association des journalistes de La Paz (APLP).
Les Boliviens voteront le 21 février prochain pour décider si Evo Morales pourra être à nouveau candidat à la présidence de l’État
plurinational en 2019. Alors que le moment de la consultation approche les révélations d’un journaliste conduisent à soupçonner le chef de l’État de trafic d’influence.