Ancien journaliste, Gilles Le Gendre, qui est devenu député (LREM) et président de la Commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations a-t-il l’ambition de mettre un terme aux dérives constatées dans cette très puissante institution financière ? Il est difficile de la savoir. Et encore plus difficile d’échanger avec lui.
Les sommets de l’État ne sont pas les seuls lieux où règnent les pratiques détestables de notre système de monarchie républicaine. Par effet de contagion, l'autoritarisme s'est propagé à de nombreux échelons de la vie locale. Un exemple parmi d'autres , celui de la commune d'Etables-sur-mer (Côte-d'Armor), dont les citoyens sont sommés d'accepter un coup de force qui n'a pas leur consentement.
Le mardi 16 mai, les étudiants qui organisent les « Mardis de l’Essec » m’ont convié pour parler devant eux du journalisme, de ses valeurs, des menaces qui pèsent sur la presse, et de l’aventure Mediapart.
L'appel au vote Macron fonctionne comme un supplice chinois. Car le candidat d’En Marche a l’insupportable talent d’alimenter, chaque jour un peu plus, les raisons que l’on aurait de ne surtout pas voter pour lui, tellement il incarne un projet de régression sociale. Et chaque jour un peu plus, il donne du crédit à la possibilité d'une catastrophe démocratique. Ce qu'il faut à tout prix éviter.
Dans un livre, intitulé « Moi président », le journaliste Olivier de Lagarde, a eu l’idée de rassembler les entretiens qu’il a eus sur de France Info avec 60 invités venus défendre une idée pour « changer la France ». A son micro, j’ai défendu le projet d’une grande réforme pour garantir le droit de savoir des citoyens.
Les Assises du journalisme ont remis jeudi soir leur prix. Mon livre Main Basse sur l’information a reçu le prix dans la catégorie « Journalisme ». On trouvera ci-dessous l’appel que j’ai lancé à cette occasion en faveur d’une grande loi progressiste en défense du droit de savoir des citoyens.
Réponse à Renaud Dély, directeur de la rédaction de "Marianne", qui, après mon enquête sur la crise de l'hebdomadaire, s'en est pris vivement à Mediapart. Dans cette charge, il n’évoque aucune des informations rapportées par mon récit que, par conséquent, il ne dément pas.
Mon livre « Main basse sur l’information » a suscité l'embarras ou a été passé sous silence par de nombreux médias qui ont été croqués par des puissances d'argent. Preuve que, du Monde jusqu'à Libération en passant par L'Express, BFM-TV et bien d'autres médias encore, il est interdit de parler des oligarques dans la presse... des oligarques! Ici commence la première des censures.
De nombreux débats ont été organisés ces derniers jours autour de mon livre « Main basse sur l’information ». Voici plusieurs enregistrements ou vidéos pris à l'occasion de ces rencontres.
C’est en conduisant des recherches pour mon livre «Main basse sur l’information» que j’ai découvert cela : la brochure publiée en 1931 par Boris Souvarine sous le titre ravageur «L’abominable vénalité de la presse française» est accessible. Et c’est heureux car l’opuscule prend une nouvelle résonance depuis que les grands médias français sont tombés dans l'escarcelle d'une poignée de milliardaires.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.