Historien et politologue, patriote progressiste et mondialiste originaire du Congo-Kinshasa ; Agrégé de l'enseignement secondaire supérieur, vit à Genève (Suisse)
Genève - Suisse
Passionnément marxiste, je crois à la révolution, à la radicalité et à la confrontation si on veut vraiment changer profondément l'ordre injuste des choses. Mais, par pragmatisme, je m'inscris dans la1…
militance réformiste ou socialiste. Quant à l'éclairage idéologique et politique, je suis persuadé que le discernement s'acquiert et s'aiguise à la lumière du débat contradictoire.
Nuremberg, du 2 au 3 septembre 2019, n’aspire pas seulement à mettre fin au scandale ; il en appelle aussi à la démystification d’Ubwenge. Voilà l’occasion des contacts informels, de sympathisation, de fraternisation, voire de pactisation… Jeter les bases d’un Gouvernement ou d’une Armée de Libération ou élargir celles déjà en gestation, n’y serait ni inopportun, ni superflu !
Si Kagamé et Museveni continuent à massacrer les Congolais, c’est pour anéantir ce peuple et s’emparer de ses terres… par leur sulfureux deal avec Tshilombo, ils n’ont plus en point de mire que la liquidation définitive du Congo. Les signes en sont légion. Il faut donc accélérer la Libération du pays. La conférence de Nuremberg est une autre manière d’en inaugurer le processus…
absurde consiste à s’en prendre à ceux qui sont déjà mobilisés pour la Libération en les discréditant par des anathèmes, récriminations et diabolisations… aujourd’hui, la Libération du Congo semble s’éloigner et l’avenir du pays s’assombrit encore plus que jamais… il faut l’inventaire des stratégies et recettes usées jusqu’à ce jour ; afin d’envisager la Libération du Congo sous d’autres auspices.
C’est le moment d’un lobbying congolais inédit en lieu et place des débats cloîtrés et stériles sur YouTube et sur Facebook, en s’appuyant sur des lettres d’interpellation, sur des mémorandums, sur des pétitions à large diffusion publique, sur des conférences-débats d’initiative congolaise, sur le forcing pour intervenir dans des conférences ciblées organisées par d’autres ainsi de suite...
Kagame a su faire reconnaître le génocide des Tutsi rwandais pour 400 mille morts. Nous inspirant de ses méthodes et pour plus de 14 millions de victimes, mobilisons-nous dès aujourd’hui pour que le 2 août, en référence aux massacres de la Deuxième Guerre du Congo, soit une journée de commémoration et de méditation sur le génocide des Congolais !
Qui est le plus ridicule dans cette course aux enchères inversées ? Est-ce Tshilombo, qui prétend déboulonner le système qui l’en a fait qu’un pantin ? Est-ce la délégation de l’UDPS qui implore la magnanimité du Raïs ? Ou Tshaombo qui, pour camoufler sa quémande de poste, fait semblant de reconnaître au pantin des pouvoirs qu’il n’a pas ?
Appelé leader, Matungulu n’est en réalité qu’un ragotin qui, par des revirements à répétition, illustre la pâle image du politicailleur congolais. Ne représentant que lui-même, qu’apporte-t-il à LAMUKA ? Par son allégeance au receleur, il rejoint la racaille obsédée par la mangeoire que sont Boshab, Mende etc… laissant ainsi coudées franches à Fayulu pour muer la plate-forme en mouvement de masse
Qui n’a pas encore compris que démocratie et processus électoral sont des pièges que Tutsi-power nous tend pour consolider son emprise sur le Congo, est hors réalités. Aussi, qui prône l’opposition républicaine ou le rapprochement avec traîtres et collabos avérés, préconise donc le suicide collectif. Il est donc à combattre ; au même titre que traîtres, collabos et ennemis identifiés ci-dessous...
Pour quelles raisons Pr Mbata singe-t-il de manière aussi affligeante ceux qu’il a longtemps et ardemment combattus autrefois : les artisans de la « politique du ventre » et de l’« inanition de la nation » ? Son ambivalence aujourd’hui n’est forcément pas insaisissable. Peut-être parce que le pouvoir politique et ses prérogatives ont des saveurs qu’a nul autre pareilles. Bienvenue à la mangeoire !
Y a-t-il une méthode pour évaluer la popularité des politiciens en lice au Congo ? Révolté par la teneur et l’ambiguïté du Communiqué des leaders auto-proclamés de Lamuka à l’issue de leur réunion d’évaluation post-électorale, un tweeter s’exclamait en des termes loquaces : LAMUKA est-il confronté à un problème de leadership ? Probablement, voire certainement, dans l'avenir. Car, actuellement...