Education populaire (science et techniques), luttes diverses et variées (celles ci qui imposent de "commencer à penser contre soi même") et musiques bruitistes de toutes origines
[ Synecdoque n. f. C'est un cas particulier de métonymie : On prend le tout pour la partie ou la partie pour le tout.Ex: le tout pour la partie; Metz a gagné la finale (pour « les joueurs de l'équipe de foot de Metz »). La partie pour le tout: Les voiles prennent le départ (pour « les bateaux à voiles »). ]Lexique des termes littéraires du site lettre.net L’affaire dite des « Lasagnes au cheval » qui agite l’opinion publique actuellement est une bonne illustration du fonctionnement du secteur de la « bouffe industrielle » mais aussi de ses implications culturelles et scientifiques (par exemple, quand un spécialiste explique que la seule façon de savoir si ses lasagnes ou ses sont farcies au bœuf, au Cheval, au porc ou au Rat est de faire une analyse ADN) Cela fait aussi système parce qu’un terme vient condenser l’ensemble des notions qui jouent ensemble dans cet imbroglio de science et de société, le fameux « Minerai de viande ». L’utilisation si particulière du vocabulaire « technique » a un objectif implicite, c’est de dénier toute « vie » au processus industriel : ce ne sont pas des êtres vivants qu’on travaille, qu’on exploite, qu’on utilise, mais bien un minerai de provenance tout a fait indéterminée. Qui pense que la « viande » qui garni nos ravioli a une existence préalable en tant que bœuf, que cheval, que poulet, qu’animal vivant ?
il existe déja de nombreux sites de science, de toutes sortes, approches, etc.Un nouveau projet me semble tout a fait prometteur, il s'agit de Kidi' science, destiné à l'éducation des enfants (petits ou grands)http://kidiscience.cafe-sciences.org/
Aujourd’hui la question de la révolution sociale et politique se place sous le signe du désenchantement et du doute. L’horizon d’attente qui a marqué trois siècles d’histoire de l’occident n’est plus. La révolution en France, c’est bien entendu celle qui nous a mis (après bien des péripéties) sous le chemin de la république. C’est aussi la révolution bolchevique de ceux qui sont « monté au ciel », sans oublier la longue marche des chinois vers l’indépendance et le progrès social et politique. Mais elle ne fait plus rêver que quelques individus isolés, des minoritaires par nature et par vocation. Elle est réduite au cortège de violence qui l’accompagne généralement, et aux faillites qui ont marqué la fin du « court XX° siècle : la révolution russe engoncée dans la terreur stalinienne et la contre révolution bureaucratique. La révolution chinoise noyée dans le marché, les révolutionnaires latinos américains réduits a des postures pour vendeur de teeshirt.Mais si la révolution sociale et politique est déconsidérée ou regardée comme impossible, il est un domaine ou elle continue à avoir du sens, celle des révolutions scientifiques qui ont changé notre regard sur la nature et sur nous même. Sans doute parce qu’elles se sont déroulée sans violence (du moins, sans violences visibles) et que les basculements qui se sont fait n’ont jamais connu de ces éclipses qu’on a connu dans d’autres contextes (la restauration pour la révolution française, l’implosion de l’URSS pour ce qui concerne la période ouverte par 1917, le retour des chats gris suite à l’effondrement de la « révolution culturelle »
La science procède d’abord et avant tout de la curiosité. Faire science, c’est d’abord se poser des questions. C’est pour cela que dans les rapports entre sciences et religions, les deux choses ne se situent pas du tout sur le même champ : la religion est d’abord question de croyances (même si elle peut aussi comporter une partie de savoirs) alors que la science est questions de savoirs (même si ces savoirs peuvent découler aussi en partie de croyances) Il s’agit d’abord pour la science de démêler ces deux aspects du réel (puisque le « réel » c’est ce qui résiste : ce qui résiste a nos croyances bien entendu, mais aussi qui résiste à notre savoir, d’où d’ailleurs l’utilité de la science)
The Pirate Bay est un des principaux sites fournissant des ressource sur le principal systéme d'échange de fichiers (et donc de fichiers "illégaux") "peer to peer" Bittorent. The Pirate Bay est l'un des plus gros sites Web en tant que référenceur de fichiers BitTorrent. Cette pratique est mal vue par plusieurs pays car plusieurs fichiers pointés sont des copies illégales de produits culturels. Cependant, de par la nature même de ces fichiers, il ne permet pas aux lois actuelles de trancher en faveur, ou non, de sa légalité.
Par Marc Tertre
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Tehelka est un journal en ligne indien, publié comme magazine papier depuis 2004. Ce journal permet d’accéder aux débats qui parcourent ce pays continent, en particulier des joutes intellectuelles qui nous sont totalement étranger et inconnus. ?Dans un de ses dernières livraison elle livre un débat tout a fait intéressant sur les conceptions divergentes d’une « science islamique » dont les conceptions divergentes donnent lieu dans les pays concernés à des débats intellectuels acharnés entre « tenant de la tradition », « partisans de la modernité (euro centrée) » C’est pour mieux comprendre les enjeux de ces discussion que j’ai traduit l’entretien qui suit
aujourd'hui est paru sur le site de rue 89 un article extrémement détaillé montrant la stratégie utilisée par le lobby des ogm pour décribiliser les PGMCet article est précieux en ce qu'il mondre les structures agissant (plus ou moins dans l'ombre) et leur façon de procéder. J'avais dans une série de billets (sur l'essence plombée, le tabac et l'amiante) donné quelques indications historiques sur la façon de fonctionner de ce type de lobby. L'enquéte fouillée de Rue 89 montre les choses en plein jours (alors qu'elles jouissent en général d'un clair obscur qu'elles affectionnent en régle général, en particulier en France ou les lobby sont par nature illégitime (contrairement aux états unis ou ils apparaissent "en tant que tel" et sans se cacher le moins du monde.)