Ce 11 mai, la France entame son déconfinement. Le virus est toujours là, beaucoup reprennent le travail, les écoles ouvrent timidement, les difficultés sociales s'amoncellent. « A l'air libre », l'émission vidéo de Mediapart a besoin de vos témoignages. Racontez-nous votre quotidien!
Le coronavirus nous déboussole, nous saisit, nous terrifie, nous confine, change nos vies. Témoignez dans notre émission vidéo quotidienne « À l’air libre ».
Donald Trump vient de menacer de taxer les importations mexicaines d'ici le 10 juin « si le problème de l'immigration illégale n'est pas résolue ». Le président mexicain, Andrés Manuel López Obrador, a répondu avec ironie. Et en lui rappelant les règles élémentaires de la « non-violence » et de la diplomatie. Voici sa lettre, traduite en français.
Jeudi, Emmanuel Macron m'a sermonné. Publiquement, devant des centaines de journalistes et tous ses soutiens réunis. Il m’a donné du « cher ami », cette expression qui suggère la condescendance avec politesse. M’a reproché de « faire le lit du Front national ».
Le soir, il est rare que je rentre chez moi en tremblant. C'est pourtant arrivé mercredi soir. Je ne revenais pas d'un terrain de guerre. Je n'avais pas passé ma journée à parler à des rescapés de la tuerie de vendredi. Ce soir-là, je rentrais juste de l'Assemblée nationale.
Le 3 avril 2012, « un peu avant 13 heures », Richard Descoings est retrouvé mort dans la chambre 723 de l’hôtel Michelangelo de New York, étendu sur son lit. Quelques heures plus tôt, deux escorts boys recrutés sur le site Planet Romeo avaient quitté sa chambre. Une maladie cardiaque liée à l’hypertension, diront les légistes américains. La France est stupéfaite. A Sciences-Po, les étudiants pleurent une rock star.
Nicolas Sarkozy en a fait un des axes de sa campagne. Le président veut même, en cas de rééelection, convoquer un référendum sur la formation des chômeurs dont on se demande bien quelle pourrait être la question. Mais loin des effets de manche présidentiels, la réalité est bien différente. Alors que le chômage explose, la formation des chômeurs se porte mal, très mal.
Pour la première fois depuis sa fermeture il y a dix ans, l'ancienne usine Bata de Moussey (Moselle) ouvre ses portes pour les Journées du Patrimoine, ce week-end. Un lieu chargé d'histoire, à découvrir d'urgence.