Les bons choix de nos zélus de plus en plus irresponsables, parce que gangrenés par le St Flouze, nous donnent une belle leçon de folie collective que Erasmus aurait appréciée à sa juste valeur.
A l’heure où l’on se pavane et où l’on se projette vers le métavers, soit le monde virtuel en trois dimensions et deux coups de pompe, il faut avouer que ce capitalocène relève de la ‘pataphysique.
Quel est le ou les salopards qui ont conseillé au Président de la République de mettre le paquet sur la voiture électrique ? Sans doute les mêmes qui nous ont vendu du moteur diesel pendant des décennies.
Un article du Monde de ce jour, nous déclare que « les français », trouvent que le RN se comporte mieux à l’Assemblée que les députés de LFI bien trop dans l’opposition systématique face au gouvernement.
D’abord, le post fascisme n’existe pas !
C’est un abus de langage. Une trahison des mots. Un système très à la mode depuis des décennies et qui a pour effet de brouiller les cerveaux. Ne pas nommer les choses correctement, c’est se leurrer et tromper les autres.
Amnesty International, a osé dénoncer que les ukrainiens se planquaient dans les zones habitées et même les hôpitaux, ce qui a fait jubiler les russes qui se sentent excusés de taper sur ces endroits à civils-boucliers.
Jacques R. Pauwels (né à Gand, en 1946, vit au Canada. Docteur en sciences politiques et en histoire, il a enseigné ces matières à l’Université de Toronto). Il est l’auteur d’un ouvrage indispensable et toujours d’actualité, paru chez Aden « Le mythe de la bonne guerre » .