Par Michel Juffé
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Depuis près d’un an les Ukrainiens attendent, attendent, attendent. Quoi ? Que leurs alliés occidentaux leur viennent en aide aussi vite et aussi fort qu’ils en ont besoin.
Vladimir Poutine s'inscrit dans une lignée qui vise, depuis des centaines d'années, à détruire l'Ukraine, culturellement, politiquement, spirituellement. C'est pourquoi nous préférons le qualifier de "destructeur" sur le modèle de Vlad l'empaleur, un héros/criminel imaginaire, fabriqué à partir d'un personnage réel : Vlad III, prince de Valachie.
Par Michel Juffé
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Dans notre livre Vlad le destructeur (Éditions l’Élan des mots, 2022), nous avons parlé de la Crimée comme un des points-clefs de cette guerre. Son destin est, depuis peu, à la fois évoqué et éclipsé : personne ne sait ce qu’elle va devenir. Un retour sur son histoire devrait permettre d’envisager le possible et le souhaitable, et de se préoccuper du sort des Tatars, ces grands oubliés.
Par Michel Juffé
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Il est de bon ton de tenir Poutine pour un fou, illogique, bluffeur, ne sachant pas où il va. De la sorte, il n’est pas nécessaire de parler de l’impérialisme russe multiséculaire et de comprendre les enjeux autour de l’armement atomique.
Par Michel Juffé
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L’après-midi du jeudi 3 mars 2022 Poutine a déclaré devant le conseil de sécurité russe : « il y a beaucoup de groupes nationalistes, banderistes et néonazis qui veulent la guerre » ; la traductrice, ignorant l’histoire, a traduit « banderistes » par « bandits ». Or il parlait bien de Bandera et de ses admirateurs.
Les « incidents » concernant les immigrés sont continuels et provoquent plus de répulsion que de compassion. Ils ne sont pourtant une menace pour personne (ni invasion ni submersion ni remplacement), et leur exclusion ou relégation n’est qu’une des nombreuses expressions d’un nationalisme xénophobe largement partagée par nos élites républicaines.
Le gouvernement s’est engagé à vacciner 60% de la population des plus de 15 ans, au plus tard au cours du 2e semestre 2021.
C'est bien trop tard : pour être à peu près sûr d’un effet durable il faut vacciner près d’un million de personnes par jour pour avoir terminé à mi-avril ou cinq cent mille par jour pour y parvenir fin mai et non d'ici la fin de l'année 2021.
D'un côté, on nous offre de la "pédagogie", des "gestes envers les gilets jaunes", des "marqueurs" à leur envoyer.
De l'autre, une exigence légitime de réformes véritables portant, pour commencer, sur trois aspects qu'il faut associer : l'autorité du peuple et de ses mandataires, le rôle de l'administration publique, la fiscalité.
Pendant qu'Emmanuel Macron poursuit son spectacle "humoristique" et que Nicolas Hulot joue à la trahison, le "salut du peuple" (gaulois) n'est pas en passe de devenir la "loi suprême" de la République française. Voyons pourquoi !