Historien, membre du Groupe d'histoire sociale (GHS), recherches sur l'histoire des sciences et des milieux scientifiques.
Montrouge 92120/ Les Vigneaux 05120 - France
« La Commune de Paris, considérant que la colonne impériale de la place Vendôme est un monument de barbarie, un symbole de force brute et de fausse gloire, une affirmation du militarisme, une négation1…
du droit international, une insulte permanente des vainqueurs aux vaincus, un attentat perpétuel à l’un des trois grands principes de la République française, la fraternité, décrète : article unique – La colonne Vendôme sera démolie. »
(Décret du 12 avril 1871)
« Le Conseil d’État dénonce une maltraitance de l’État de droit par l’exécutif. (…) Emmanuel Macron est un homme dangereux. » Deux phrases extraites de l'interview d'Anicet Le Pors (ancien membre du Conseil d'État et ancien ministre communiste de la Fonction publique sous Mitterrand), parue le 28 janvier dans l'Humanité.
Face à la montée des températures et des inégalités sociales, huit responsables d'associations environnementales et de syndicats, comme la CGT, Oxfam France, Attac France ou encore Greenpeace France, s'allient pour appeler à "répondre à la double urgence climatique et sociale".
L'Espagne a, depuis hier, un premier ministre élu à la tête d'un gouvernement de la gauche unie. Pour la première fois depuis... 1939. Quelle signification, quel sens donner à cet événement ?
M. Cédric Chouviat est une nouvelle victime des forces de répression agissant en France en hors-la-loi. Le macronisme, c'est cela. "1984" est dépassé depuis longtemps.
Ce matin, mardi 17 décembre, ce fut ce fut UN ÉVÉNEMENT cette manifestation intersyndicale dans les rues de BRIANÇON, sous-préfecture des Hautes-Alpes ! La première de cette ampleur depuis pas mal d’années …
Bien informés sur l’entreprise de destruction du système de retraite dont « tout le monde » sait qu’au bout du compte il aboutira à l’obligation de cotiser à une retraite par capitalisation, comme on a déjà une assurance-vie quand on en a les moyens, c'est-à-dire au « chacun pour soi », seule une minorité de travailleurs salariés s’en émeut.
Les retraites, comme la santé, c'est un volet de la Sécurité Sociale, voulue par les Résistants, inscrite dans le programme du Conseil National de la Résistance et mise en place après la Libération lorsque Ambroize Croizat était ministre du Travail. Rien de commun avec la titulaire actuelle de cette fonction, une libérale forcenée venue du patronat.