Je ne sais pas écrire autrement que dans une certaine urgence. Je n'ai pas de thème véritable si ce n'est le temps : le présent et celui qui passe.
Un jour, au cours d'un voyage au Guatemala un autochtone…
m'avait dit : "Ici, l'heure, c'est quand on est prêt". J'essaie, dans cette petite activité annexe d'écriture, de me conformer à ça. Autrement dit, il n' y a pas de ligne ici. Juste des sortes de confettis.
Je n'aime pas la marseillaise, ni les défilés, ni la musique militaire, mais j'aime bien les anagrammes. Aucun rapport me direz- vous. Pas si sûr. Au fond, l'anagramme n'est qu'une forme d'ordre renversé mais un ordre quand même, révélant parfois l'indicible voire l'inconscient.
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