Je ne sais pas écrire autrement que dans une certaine urgence. Je n'ai pas de thème véritable si ce n'est le temps : le présent et celui qui passe.
Un jour, au cours d'un voyage au Guatemala un autochtone1…
m'avait dit : "Ici, l'heure, c'est quand on est prêt". J'essaie, dans cette petite activité annexe d'écriture, de me conformer à ça. Autrement dit, il n' y a pas de ligne ici. Juste des sortes de confettis.
La nouvelle présidence affiche ses muscles : communication, symboles, verbe et présence "maîtrisée". Certains s'émerveillent, j'aurais tendance à m' inquiéter.
C'est une pochade (pas très relevée sans doute mais je ne puis) parce qu'il n'y a pas de quoi rire et les temps sont trop dévoyés pour oser comparer cette période électorale avec une aimable compétition de vachettes.
Certaines réactions à l'issue du premier tour des primaires "de gauche" m'ont fait penser à la célèbre phrase "les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait". Et puis j'ai songé qu'il y avait peut-être d'autres choses à glaner dans les saillies du bonhomme. J'ai fait un marché très subjectif à l'issue duquel certaines répliques m'ont semblé ne pas manquer d'à propos.
Je ne sais pas poster correctement les vidéos mais pour ceux qui s'aventureront ici, un modeste pastiche de la belle chanson de Georges Brassens. Qui marche à peu près.
La poésie des jardins japonais invite à un certain détachement qui n'est pas indifférence aux soubresauts de l'actualité politique de ces derniers jours mais plutôt une invitation à prendre le temps de comprendre.
Voter or not voter à la primaire de droite (et du centre) quand on est de gauche. Quand des militants de droite viennent vous engager à laisser là vos scrupules
Lorsqu'elle m'a parlé de son engagement pour cette école, je n'ai pas bien réalisé. Puis m'est parvenu un lien vers ce petit film. Ma cousine y passe un peu plus de la moitié de l’année pour accompagner les enfants comme les enseignants. Le reste du temps, longue tresse ouvragée et sarouel éclatant, elle trimballe sa dégaine fine et chatoyante sur nos routes, visitant les siens.