Les éditions Verdier viennent de commencer la réédition de l’ensemble des oeuvres de la grande philosophe, en commençant par son autobiographie en forme de confession sublime d’une enfance cachée, si actuelle et si proche.
L’exposition Writing to myself de Geert Goiris à la galerie Art Concept, en forme de carnet de voyage du photographe nous invite à voir le monde en adoptant un point de vue non-anthropologique ; celui des temps géologiques ou des durées écologiques menacées.
Le cinéaste signe avec son groupe Sqürl, la bande originale de la version restaurée du Retour à la raison de Man Ray. L’occasion de revenir sur la richesse du dialogue ouvert par les surréalistes entre photographie, cinema, écrits, musique et image.
La vie de Daniel Pommereulle éprouvée autant par le traumatisme de la guerre d’Algérie, que par l’exaltation des fulgurances de Mai 68 reste d’abord la manifestation d’un pouvoir de Voyance inspirée en voie de quasi extinction.
Dans le prolongement du Jour des peintres à Orsay, le peintre Thomas Lévy-Lasne revient sur son combat pour soutenir les artistes contemporains français, qui resteraient trop souvent mal représentés par la plupart de nos institutions culturelles.
A l'image de sa création aussi singulière que visionnaire, Sidney Carron présente dans une mise en scène en forme d'ovni théâtrale, sa série Big Bang Blue. Un pur moment de poésie visuelle !
En réunissant 80 peintres contemporains de la scène française en quelques heures chrono, le musée d'Orsay loin de servir la peinture, ne cède-t-il pas à l'esprit du zapping généralisé.
Il faut courir voir la soixantaine de photographies de Tomasz Machciński présentée à la galerie Christian Berst. Sa pratique photographique hors norme reste un testament bouleversant et unique d’un amour orphelin.
Au moment où la planète brûle, Haude Bernabé nous invite par son art à réinventer d’autres manières d’habiter ce monde. Une exposition à découvrir à la galerie Claire Corcia jusqu’au 12 juillet.
Le RN si prompt à faire des origines la marque de toute civilité reste pourtant contraint de recouvrir constamment sous le masque d’un jeunisme de façade, son lourd passé néofascistes.