Lors des « journées portes ouvertes » à Médiapart, mercredi 2 décembre, où le site était accessible à tous, Edwy Plenel a déclaré lors d’une visioconférence avec des journalistes de la rédaction : « Nous décrédibilisons la parole publique en révélant les dysfonctionnements de l’État dans sa gestion de la pandémie, son impéritie, ses mensonges (…)
Les mots ont un sens dont les médias mésusent. Une bavure, c’est ce qui déborde et laisse des traces. Comme une trace d’encre qui s’étale en débordant hors du motif d’une lettre lors de son impression. Une bavure policière, c’est une intervention policière qui déborde du strict cadre de la loi pour dégénérer en violence.
Que d’horreurs l’être humain n’accomplit-il pas au nom d’un Dieu bien susceptible, il faut croire, irascible et vengeur, loin, bien loin du dieu miséricordieux comme en parle le Coran, et beaucoup plus près d’une divinité infernale antique, comme le Moloch des Cananéens.
Alors que hier matin a eu lieu à Paris une attaque au hachoir dans la rue qui mène aux anciens locaux de Charlie Hebdo, une attaque perpétrée par un individu de 18 ans né au Pakistan
Nicolas Sarkozy était l’invité du JT de TF1 lundi soir dernier, pour faire la promotion du livre qu’il a écrit pendant le confinement, Le temps des tempêtes, époque où apparemment, il se serait trouvé dans une de ses propriétés situées vers le centre de la France.
Anne-Claire Coudray, qui a remplacé Claire Chazal en 2015 au journal télévisé de TF1, est devenue une tête à claques dans sa manière d’interviewer les hommes politiques sur le plateau de TF1.
Les racines du racisme plongent loin dans l’histoire de l’Humanité. Elles plongent dans la nuit de l’ignorance, dans cette nuit noire qui habite les hommes à l’égard de leur propre origine.
Depuis que ce virus issu du monde animal (selon les spécialistes, le coronavirus est analogue à 98% au virus dont la chauve-souris et le pangolin sont les hôtes) contraint « homobilis » au confinement, chose qui, pour notre espèce adepte de la mobilité sans frontière, confine au supplice chinois,
Roman Polanski, absent de la cérémonie des Césars 2020 organisée à la salle Pleyel, s’est vu attribuer le César du meilleur réalisateur pour son film J’accuse, ce qui a provoqué le départ de l’actrice Adèle Haenel, en pointe dans la dénonciation des agressions sexuelles dont sont victimes les actrices dans le milieu du cinéma, mais aussi toutes les femmes, qui s’est écriée: « c’est la honte ».
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