Au pied du Larzac, non loin de quelques bons crus de l'Hérault et proche des nombreux problèmes qui touchent les territoires d'une France pas si périphérique que ça.
Chers lecteurs, je vous donne à lire aujourd'hui, l'avis de l'équipe enseignante de mon école sur les programmes de 2008 réalisés sous Xavier Darcos par Brighelli.
De nombreux articles de presse soulignent, témoignages de parents et d'enseignants à la clef, que les élèves sont fatigués à cause du mercredi matin travaillé, mais...
C’est la question que se posent la plupart des enseignants dans la salle de classe. En fait, la situation est plus grave : « Pour ce qu’ils en feront de notre avis », entendons-nous dire plutôt. Rares sont ceux qui croient que le ministère les consultera vraiment. C’est pourtant possible… à certaines conditions.
Les écoles connaissent depuis cinq ans le service minimum d’accueil (SMA), un dispositif visant à limiter le droit de grève dans les écoles. À côté de la semaine à quatre jours, des programmes… le SMA est une autre vieillerie de Sarkozy à laquelle il faut mettre fin, tout en garantissant aux parents d’élèves une solution de garde. Impossible ?
Selon l’OCDE, la France fait partie des pays qui réduisent le moins les inégalités par l’école. La politique de l’Éducation prioritaire qui devait répondre à cette problématique semble être un échec.
Pour conclure l'année, je vais partager avec ceux qui voudront bien le lire, un projet pédagogique pour la future année scolaire : le dispositif « plus de maîtres que de classes ». Vous pourrez voir ainsi comment le travail d'enseignants s'élabore en équipe. Cela permettra aussi, peut-être, d'avoir des avis extérieurs, des débats, alors que l'administration n'en a fourni aucun.
Qu’est-ce qu’être un enseignant ? À cette question, il y a une foule de pédagogues et de non-pédagogues qui ont répondu. À l’heure où le nouveau référentiel des métiers de l'enseignement définit le métier, je propose une manière différente de dire ce qu’est aussi un enseignant ?
Leïla et Jean-Claude travaillent tous les deux dans les écoles. Enfin, travaillaient. Ils sont deux des précaires de l'éducation nationale. Hier, en contrat CUI, aujourd'hui au RSA, et entre temps, dans la fierté d'être utile à la nation et aux élèves.
Mediapart titre sur un Hollande à la peine. Vincent Peillon serait de la même veine. Et bien, contrairement à tout ce que l'on peut lire dans la presse, il me semble évident, j'insiste, évident, que Vincent Peillon a réussi politiquement la réforme les rythmes scolaires.