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Monsieur le Ministre des élèves, vous étiez invité dans les locaux de Mediapart vendredi 19 octobre ; moi aussi. Un malheureux contretemps m’a retenu. Mais comme le disait Martial Solal pour le jazz « peu importe si un jazzman fait une fausse note, l’important… »
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Mediapart m'avait invité pour évoquer les rythmes scolaires et d'autres sujets, avec Vincent Peillon, en direct ce vendredi 19 octobre. J’étais le seul intervenant représentant du primaire. L’Inspection Académique de l’Hérault m’a refusée cette rencontre. La raison ? L’administration de l’Education est malade.
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Ils ont été la pointe de la contestation des mesures Darcos-Sarkozy-Châtel. Ils demandent aujourd'hui la levée des sanctions pour des raisons bien légitimes.
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Une classe maternelle de Lodève va fermer conséquence de la rentrée Châtel. Mais plus que l’anecdotique fermeture au milieu de milliers d’autres, il s’agit d’un cas d’école qui permet d’illustrer pourquoi les élèves des « zep » sont toujours, in fine, perdants.
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A Lodève, le 14 juin à 19h plus de 70 enfants chanteront du jazz accompagnés d'une formation de musiciens confirmés. Ce projet se veut une réponse locale à une problématique que beaucoup d'écoles de France rencontrent. Comment regagner de la mixité dans des écoles trop souvent, mais pas toujours, "évitées" ? ou dit-autrement comment faire société ? en chantant ?
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Vincent Peillon aurait gaffé ! Pourtant, François Hollande disait à Orléans « Les rythmes scolaires seront réformés, en allongeant le temps sur l’année et en diminuant les surcharges journalières ». En recadrant son ministre de l’Education, peut-être pour asseoir son autorité ou sa méthode, Jean-Marc Ayrault ne sait pas qu’il a commis une faute politique en niant le passé et en handicapant l’avenir. Et si c’était JM Ayrault qui avait gaffé ?
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Vincent Peillon, probable ministre de l’Education, aura fort à faire. Bien que le ministère de l’éducation semble privilégié avec la création de 60 000 postes, la feuille de route que donne François Hollande est semée d’embûches. Le travail à accomplir est immense si l’on ne veut pas que la « refondation de l’école » ne soit qu’une formule. En cas d’échec, l’école républicaine n’y survivrait pas.
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Cette droite n'aime pas le peuple. Elle le préfére silencieux pour parler à sa place. Quand un petit, un sans grade, use de sa liberté de penser, d’écrire, il lui est « proposé » de se taire. C’est ce qui m’a été « proposé » par la droite. Mais devais-je renoncer à la devise des Lumières : « Sapere aude, aie le courage de te servir de ta propre intelligence !» ? Chronique d’une tentative de mise au pas où mon devoir était de résister*.
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Au final, Nicolas Sarkozy ne change pas. Pendant 5 ans, il a expérimenté et peaufiné sa technique de communication pour cette campagne de 2012 : annoncer des mesures qui font du bruit mais sans aucune possibilité de les mettre en place après annonce. Le « conseil de soutien » est de celles-là. Un simple coup d’œil sur ce « bidule » laisse apparaître une belle supercherie.
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Dans son discours d’Orléans sur l’Education, François Hollande a affirmé qu’il donnerait une priorité à l’école primaire quant à la (re)création de « nouveaux » postes dans ce Ministère. Mais, comment juger la primauté du primaire chez Hollande ? Personnellement, je vous propose un autre critère que le nombre de postes pour juger de la primauté du primaire : qui conduira les réformes du primaire ?