Depuis le 5 juin et jusqu'au 1 octobre, l'association ANTICOR (pour anticorruption) sillonne la France avec sa camionnette pour rencontrer dans de multiples villes et villages une population éloignée du centre parisien. Elle était sur le marché de Montferrand ce 8 août pour faire le point sur cette association qui mène un combat si nécessaire.
Que n'aura-t-on écrit pour saisir cette époque où, comme l'hydre de Lerne, la barbarie du XXème siècle dans sa forme la plus innommable renaît tout aussi abominable ? Que n'aura-t-on écrit malgré cette impuissance pour refuser la résignation et refuser le silence ?
Cette fois, les plaidoiries des avocates ont pu avoir lieu pour valider ou annuler la procédure, la déclarer recevable ou irrecevable. Décision le 2 septembre.
La procédure se poursuit et le référé attendra la semaine prochaine. Entre preuves de vérité (apportées par Médiacoop) et contre-preuves de vérité (que veut apporter l'Adapei63), la procédure sera jugée pour annulation ou irrecevabilité mardi prochain 22 juillet pour un délibéré en septembre !
L'ADAPEI63 a choisi la procédure judiciaire pour étouffer des dysfonctionnements évidents au vu des articles de la journaliste de MEDIACOOP qui rapporte maints témoignages. La liberté de la Presse est menacée dans cette procédure-baillon. L'existence même de Mediacoop peut être mis en cause..Voici les faits, les enjeux et ces témoignages. Chacun·e est invité·e à la solidarité.
La guerre de Nétanyahou puis celle de Trump contre l'Iran, le génocide à Gaza qui se poursuit par la faim, la soif, les mitraillages pour un peu de riz sonne le glas de la crédibilité européenne au reste du monde. Ni les valeurs historiques, ni la référence incantatoire au droit international ne peuvent faire illusion. Au-delà du triomphalisme militaire, le désastre est là
Pauvres enfants martyrisés ! Pauvres femmes éventrées ! Pauvres hommes déchirés ! Vous hanterez longtemps la face du monde qui s'est détournée de votre anéantissement qui ne règle rien d'une injustice coloniale impunie.
Michel Lévy a publié le roman « Sonia ou l'avant-garde » et m'a demandé de lui en donner ma vision de lecteur. La voici, après lui avoir envoyé une première version et suite à ses remarques opportunes.
Par Georges-André
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La nécessité d'une vraie loi, pas le énième succédané, sur la fin de vie ouverte au choix d'euthanasie ou de suicide assisté n'est plus à démontrer. Elle doit être votée sans la limiter dans sa forme la plus restrictive sauf à se retrouver comme aujourd'hui et ses fins de vie dramatiques. La fin de vie des partants en Belgique est révélée par cette grande dame qui facilite les démarches