C'est une formidable idée qu'ont eue Jean-Michel Rodrigo et Georges Terrier de consacrer un documentaire à l'histoire de l'Union nationale des étudiants de France (Unef), que la chaîne Public Sénat va diffuser ce lundi soir et plusieurs fois les jours suivants (*).
C'est ce jeudi 5 mai que sort en librairie l'ouvrage collectif réalisé par la rédaction de Mediapart, intitulé « Les 110 propositions, 1981-2011 » (Editions Don Quichotte, 168 pages, 9,90 euros, parution en librairie le 5 mai), avec pour sous-titre « Manuel critique à l'usage des citoyens qui rêvent encore de changer la vie ».
Que Daniel Picouly ne m'en veuille pas de raconter cette histoire. Ni même, sans méchanceté ni arrière-pensée, de le brocarder. Car j'apprécie l'émission qu'il anime le vendredi soir sur France 5, intitulée « Café Picouly ».
C'est en lisant ce lundi matin un tweet de Pierre Haski que cela m'est revenu à l'esprit : le nouveau site d'info sur Internet Atlantico vient tout juste de démarrer.
Pour la vie parisienne des affaires, la nouvelle est microscopique ; mais pour les destinées du journal Le Monde, elle est importante et symbolique : Jean-Francis Bretelle vient d'être coopté au conseil de surveillance du journal.
Je dois en convenir : je ne suis pas expert en football et n'ai aucune qualité pour juger du talent qu'avait, du temps où il jouait, Eric Cantona. Mais je dois avouer qu'en économie, il ne manque pas de compétences ou en tout cas pas de bon sens.
Je voudrais dire ici ma tristesse: Jacques Mairé est décédé en fin de semaine dernière des suites d'un cancer, qui lui a accordé pendant quelques temps une rémission mais qui a finalement eu raison de lui. Ma tristesse, en même temps que mon estime et mon très grand respect.
Pour ceux qui se demandent où va le journal Le Monde, ou du moins quelles sont les attaches de ceux qui le dirigent, je ne saurais trop conseiller une lecture, celle de l'éditorial que vient de signer le directeur de ce journal, Eric Fottorino, dans son édition datée du 15 octobre 2010, sur la réforme des retraites.
Il y a deux manières d'écouter ce que professent les donneurs de leçons : on peut écouter au premier degré ce qu'ils disent ; mais on peut aussi chercher à deviner pourquoi ils le disent.
Dis-moi qui sont tes amis, et je te dirai qui tu es... Sans doute Martine Aubry aurait-elle dû méditer l'adage avant de lancer ses invitations pour la fête qu'elle a organisée, dimanche 5 septembre au soir, à Lille, car il en est une qui n'est pas passée inaperçue : dans le lot, il y avait en effet Alain Minc, l'entremetteur du capitalisme parisien, qui est aussi l'une des figures de la Sarkozie, même s'il n'est plus très en cour depuis quelques mois.