Par Paul Cassia
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Au nom de la transparence, l’Elysée a publié le 21 août 2017 un document précisant certaines des missions dévolues ou pouvant l’être à l’épouse du président de la République, et certains des moyens mis à sa disposition pour ce faire.
Par Paul Cassia
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Le sénateur du Rhône, fervent partisan de l’état d’urgence, se trouve désormais mis en cause pour des faits relevant d’une « atteinte à l’Etat », et donc théoriquement susceptibles de relever des mesures permises par la loi du 3 avril 1955.
En l’espace de quelques semaines, le Conseil d’Etat a donné deux interprétations différentes de la notion « d’élément nouveau » permettant de prolonger pour trois mois une assignation à résidence de longue durée prise dans le cadre de l’état d’urgence. L’une privilégie l’ordre public, l’autre la liberté d’aller et de venir.
Par Paul Cassia
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Le Conseil constitutionnel pourrait censurer la suppression de la réserve parlementaire, votée par l’Assemblée nationale le 9 août 2017 dans loi organique pour la confiance dans la vie politique.
Par Paul Cassia
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Il n’y a guère de raison de s’opposer à ce qu’un document précise les droits et devoirs du conjoint du président de la République ; toute la question est de déterminer le contenu de ce document.
Le 28 juillet 2017, l’Assemblée nationale a supprimé la réserve parlementaire, après que le gouvernement et la majorité parlementaire ont tenté d’en conférer un monopole d’attribution… au gouvernement.
Le gouvernement et la majorité à l’Assemblée nationale ont refusé que des dispositions limitant le « pantouflage » des très hauts fonctionnaires soient insérées dans la loi de moralisation de la vie publique en cours d’adoption. A tort ou à raison ?
Par Paul Cassia
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Lettre ouverte à l’ancien Garde des Sceaux de François Hollande, devenu soudainement farouche détracteur de l’état d’urgence et de la loi « antiterroriste » en cours d’adoption par le Parlement.
Le projet de loi renforçant la sécurité intérieure a été adopté par une large majorité de sénateurs le 19 juillet 2017. Il constitue de fait une septième prorogation de l’état d’urgence, dans une version moins restrictive pour les libertés mais fondée sur la même logique de prévention d’une éventuelle dangerosité largement entendue.
Dans une Assemblée nationale quasi-déserte, 137 des 577 députés ont prorogé l’état d’urgence pour la 6ème fois, après que le ministre de l’Intérieur a présenté de manière biaisée l’efficacité de ce régime législatif d’exception dans la prévention des actions terroristes.