Vibrations Migratoires, 29 février 2012 - 31 janvier 2014 : dans quel contexte s'inscrit l'édition de ce blog concernant la situation des exilé-e-s à Calais ? Ou : les débuts du quinquennat Hollande à Calais.
Vibrations Migratoires, le premier des blogs auxquels nous nous intéressons concernant les exilé-e-s à Calais, est né dans le cadre d'une association, La Marmite aux Idées, dont voici l'histoire.
Notre regard sur la situation calaisienne est souvent aplati dans l’immédiateté, par l’urgence des situations, par la mise en scène médiatique. Un essai de chronologie pour aider notre vision à retrouver un peu de profondeur de champ.
Suite des éclairages sur cette archive ouverte que sont les blogs Vibrations Migratoires et Passeurs d'hospitalités sur la situation des exilé-e-s à Calais. Une question souvent posée : pourquoi Calais ?
Suite des textes éclairant cette source documentaire concernant la situation des exilé-e-s à Calais que constituent les blogs Vibrations Migratoires et Passeurs d’hospitalités – celle dernière continuant à être alimentée par de nouvelles mains. Aujourd’hui, la démarche.
De la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy au début de celui d'Emmanuel Macron, les blogs Vibrations Migratoires puis Passeurs d’hospitalités ont documenté (ce dernier continue) la situation des exilé-e-s à Calais. J’avais rédigé quelques textes pour accompagner un travail qui n’a pas vu le jour à partir de ces blogs. Je profite de l’été pour les publier ici. Mais tout d’abord de quoi s’agit-il ?
La Commission européenne, qui brille par son absence face à l’épidémie de coronavirus, a trouvé une idée : rouvrir les frontières. Pour rétablir notre liberté de circuler ? Non, pour que nous courions renflouer l’industrie touristique. Mais n’est-ce pas un moment où nous avons mieux à faire de notre temps libre ? À commencer peut-être par le libérer.
L'ONU signe des Cadres de partenariat stratégique avec un grand nombre d'institutions. Elle est restée discrète sur celui qu’elle a conclut avec le Forum Économique Mondial (Forum de Davos), par lequel l’ONU et ses agences se mettent au service de l’ouverture de nouveaux marchés.