Assigné à résidence pour crime de lecture, réduit au silence pour avoir écrit sur Gaza. Dans un monde où lire Céline ou nommer un génocide vaut condamnation, je confesse mes fautes : avoir lu, avoir écrit, avoir résisté.
Sous couvert de démocratie, la France glisse vers une xénophobie d’État, armant des criminels de guerre tout en criminalisant la solidarité. Ce texte mêle mémoire et lucidité : de la collaboration sous l’Occupation à la résistance palestinienne d’aujourd’hui, il dévoile les visages multiples de la trahison et de la dignité.
Un régime policier ne vit que par la peur, la calomnie et la répression. Des services de renseignement aux juges aux ordres, des médias de propagande aux baltajis de l’ombre, chaque rouage broie la dissidence et orchestre le pogrome anti-information. Mais jusqu’à quand ? enfin de camp ?
Face aux dérives de l’ultra-libéralisme, un nouveau visage du fascisme émerge, déclenchant des génocides en Palestine, au Congo, en Syrie, au Soudan, et menaçant bientôt l’Irak et le Liban. Cet article examine comment une idéologie de profit et d’impunité transforme la géopolitique en tragédie humaine.
Une zone surpeuplée, sous blocus, sans perspective d’échappatoire.
• Des frappes aériennes répétées, causant des milliers de victimes civiles.
• Des infrastructures vitales anéanties : hôpitaux, écoles, stations d’eau.
• Des sanctions collectives bafouant le droit international, laissant une population à genoux
Depuis les années 1980, chaque soulèvement populaire arabe a été détourné par les puissances impérialistes, principalement les États-Unis, en utilisant les islamistes comme instruments de division et de répression. De l’Afghanistan à la Syrie, ces interventions ont saboté toute révolution démocratique, laissant la Palestine en marge de ce chaos orchestré.
Le sionisme aurait pu s’implanter en Ouganda, mais l’Empire britannique a réorienté le projet vers la Palestine, déclenchant un siècle de conflits. Entre blocus arabe, soutien occidental à Israël et divisions internes, la Palestine reste prise en étau, broyée par les intérêts impérialistes et régionaux.
L’Occident a perpétré des génocides (Amériques, Namibie, Congo) et la Shoah. Gaza, qualifiée de « Shoah 2 » par certains, rappelle ces violences. Les conquêtes musulmanes en Inde, avec des massacres massifs, n’excusent pas les crimes occidentaux. Mémoire honnête nécessaire.
Au Maroc, Hamid El Mehdaoui, youtubeur paradoxal, défend ses tortionnaires après 3 ans de prison. Le système (Younes Moujahid, Yassine Mansouri/DGED) manipule procès et médias. En 2018 à Paris, des baltaguia sabotent un débat de l’ASDHOM
Face aux barbouzes, la résistance murmure : Rira bien qui rira le dernier.
la voix d’un Arabe collaborateur du sionisme.
De 1948 à Gaza, terres vendues, listes fournies, massacres tus. Les illusions de sécurité échangées contre la trahison. Quand les complices deviennent les oubliés de l’Histoire. « Avais-je le choix ? » murmure-t-il, face aux fantômes. Une plongée dans les ombres de l’Histoire, où la survie rime avec complicité.