Collaborateur de Justice et Paix France, militant des droits humains, observateur indépendant et autodidacte passionné de la vie politique indonésienne.
Paris - France
Pendant que le peuple crève à trimer jusqu’à la tombe, ces foutus ventrus du Palais Bourbon se taillent une retraite dorée ! Hypocrites à cravate qui prêchent la rigueur mais s’empiffrent sans honte : voilà la caste parlementaire, gavée de nos sueurs et planquée dans ses privilèges !
Dans de nombreux pays du Sud, et plus particulièrement en Indonésie, la modernité politique n’a pas supprimé les vieilles dépendances : elle les a maquillées. Sous le vernis du nationalisme et de la démocratie, se perpétue un système d’allégeances où le religieux, le politique et le corrupteur vivent en parfaite harmonie.
Parbleu ! Voilà notre Macron tout seul à la barre, tandis que ses matelots sautent du navire ! Les uns murmurent, les autres s’éclipsent, et lui s’obstine à tracer sa route dans la brume. Le palais s’ennuie, le vent tourne, et la République, ma foi, a l’air de chercher un nouveau capitaine.
La Majelis Ulama Indonesia (MUI), principale autorité islamique du pays, a décidé d’exclure les gymnastes israéliens du Championnat du Monde à Jakarta (19-25 octobre). Au‑delà du religieux ou du politique, cette mesure questionne la légitimité et l’image de ces athlètes sur la scène internationale.
Parbleu, le Père Duchesne s’enflamme ! Face aux manœuvres politiques, aux alliances inattendues et aux promesses non tenues, le peuple ne reste pas passif. Entre satire et indignation, ce texte appelle à faire entendre sa voix par le vote, la contestation pacifique et la vigilance civique.
Dans ce pamphlet brûlant, Père Duchesne hurle sa vision de la révolution : pas de réunions polis ou de discours creux, mais de la rage du peuple contre les élites déconnectées. Entre colère, destruction et parole populaire, chaque mot est un coup de poing pour réveiller les somnambules du pouvoir.
Père Duchesne, figure emblématique de la Révolution française, s’adresse aux élites politiques contemporaines. Avec verve et colère, il dénonce les déconnexions du pouvoir, les promesses vides et l’indifférence envers le peuple, tout en réaffirmant la force de la parole populaire.
« Un roi doit régner ou mourir », disait Saint-Just. Aujourd’hui, ses mots frappent nos dirigeants inertes, corrompus ou indécis : incapables de protéger leurs peuples, ils sont déjà morts. La légitimité n’est pas un titre, c’est un acte ; régner sans courage, c’est trahir, et trahir équivaut à mourir.
L’ambition du président indonésien Prabowo, formulée il y a un an : un dollar à 5 000 IDR grâce à la noix de coco et au clou de girofle. Le 7 octobre 2025, il est à 16 550 IDR. Les cocotiers semblent indifférents aux calculs économiques, mais rien n’empêche de rêver que la magie tropicale finisse par agir un jour.
De Forest City en Malaisie à Nusantara en Indonésie, l’Asie du Sud-Est s’entiche de mégaprojets urbains futuristes, présentés comme écologiques mais voués au fiasco. Derrière la rhétorique du progrès, ce sont des forêts rasées, des peuples déplacés et des vitrines vides qui s’érigent, monuments au béton et à l’illusion.