Le covoiturage a le vent en poupe. Et spécialement l'entreprise de Frédéric Mazzella, créée par Vincent Caron.Car même si c'est une rumeur qui court, la SNCF n'a pas racheté le site "covoiturage.fr" devenu "Blablacar".Ce qui est vrai, par contre, c'est que, comme dans un grand nombre de cas, notre société secrète le poison "économique" qui consiste à faire encore et toujours du profit sur le dos des plus vulnérables, ou du moins des "non-nantis".Ce n'est pas rare: on lance une idée, un truc sympa, vivant, et puis quand ça fonctionne bien, que les gens se sont habitués à s'en servir... Vlan! On passe à l'exploitation et on fait sonner le tiroir-caisse!
Nous étions douze.Des gens plutôt curieux, sensibles, cultivés, intelligents.Le réveillon était organisé chez une ancienne directrice d'école, active dans le domaine culturel (pour sa commune) et chacun avait préparé un plat.
Courant Novembre, Tullio De Mauro, linguiste et ancien ministre de l'enseignement en Italie, a livré une interview au journal "Il Corriere della Sera". Dans cet entretien, il soutenait en gros que le projet de faire de l'anglais la principale langue commune de l'Europe ne présentait pas -à ses yeux- d'inconvénient majeur.L'économiste des langues Michele Gazzola, qui oeuvre en Suisse, lui a répondu. Voici la traduction en français de son texte (voir le PDF joint)
La prétendue "gauche", qui à mes yeux ne mérite même pas le nom de "sociaux-démocrates", tellement ses membres ne sont plus NI "sociaux" NI "démocrates", continue à se comporter comme ses concurrents les plus libéraux.Après avoir privatisé les autoroutes et nombre d'autres biens publics, voici qu'ils se sont attaqués au patrimoine hydro-électrique...
Edmond Plutniak a capté l’attention de son interlocuteur et n’hésite pas à lui donner une première leçon d’espéranto. « Une langue très musicale qui se rapproche de l’italien, très facile avec seulement seize règles de grammaire ». Une langue très jeune aussi, née il y a 127 ans dans la tête d’un ophtalmologiste polonais, Zamenhof alias le « Docteur qui espère », Doktoro Esperanto.Edmond Plutniak et Arlette son épouse ont découvert l’espéranto « par hasard » il y a cinquante ans, lors de leur passage à l’École normale d’instituteurs d’Arras en suivant les cours de Georges Odent. « Nous avons tout de suite été emballés » affirme le couple avant d’ajouter « et on a eu de la chance de rencontrer l’espéranto ».
Il paraît que c'est soutenu par le gouvernement???... Une semaine de solidarité sociale? De partage? Bon, je ne sais pas trop. Ou plutôt, je ne CROIS pas trop. Je pense que dans la conjoncture actuelle, c'est dans le meilleur des cas de la poudre aux yeux. Donc, en tant que responsable d'une structure associative, voici la "cochonnerie" (je me place du point de vue de la langue...) que je viens de recevoir en courriel (extraits):
(Brève) "Usurpation d’identité politique par transfusion de sens"Sur le site "Mémoire des luttes", un article de Bernard Cassen, dont voici le début:"L’usurpation d’identité est une forme de délinquance dont les victimes se comptent par centaines de milliers dans un pays comme la France. A partir de données en général frauduleusement obtenues et de vols de documents personnels, l’usurpateur se substitue à l’identité d’une autre personne et l’utilise pour commettre impunément toutes sortes de délits.