Le metteur en scène Sylvain Maurice signe avec « Le roi nu » du russe Evgueni Schwartz, le spectacle de 15h, première reine de Bussang, Julie Delille reprend le soir l’extraordinaire «Je suis la bête » et un feuilleton raconte les cent trente ans du Théâtre du peuple créé par Maurice Pottecher. Cet été, pour son jubilé, le Théâtre du peuple se résume en un mot : jubilons
Avignon off. Ni stand up, ni one-woman-show, Ysanis Padonou, seule en scène mais bien entourée, aborde en actrice le mal dont elle est atteinte : une forme d’Alzheimer précoce.
L’actrice Maria Machado, fidèle compagne de Roland Dubillard, joue et met en scène, dans un lieu magnifique, « Madame fait ce qu’elle dit », un texte que « Roland » a écrit pour elle. Un délice nocturne, rêveur et jardinier.
Face à ce constant des artistes de partout, contactés ou présents au Festival ,trente après les massacres en Yougoslavie et une première déclaration , ont signé une « nouvelle déclaration d’Avignon «
vignon. Au cœur de son projet « Démonter les remparts pour finit le pont » , Morin devait chaque année monter une pièce choisie dans la langue mise à l’honneur au festival. Ce fut le cas pour l’anglais (Shakespeare) et l’espagnol (Cervantès) il n’en est rien cette année avec la langue arabe. Morin monte « Les Perses » d’Eschyle. Une pièce écrite en grec. Vous avez dit bizarre ?
Avignon.La nouvelle piète de l‘actuel directeur du festiva, Tiago Rodrigues, a pour titre « La distance ». Celle de l’espace temps qui sépare deux planètes : la terre où nous vivons et Mars où en 2077 des humains sont partis vivre et ont créé une autre société. Ici, un père terrien , là-bas ; sa fille. Un dialogue tendu fait de messages à distance