Cafouillage au gouvernement entre la porte-parole qui évoque des normes d'hygiènes, inexistantes selon le ministère des sports. Ce même ministère alerte sur les « discriminations indirectes pour des raisons religieuses » qui résulteraient d'une invocation sans preuve de l'hygiène.
Critiquer le Printemps républicain serait une atteinte à la liberté d'expression, selon Gilles Clavreul. Enième dévoiement d'un principe démocratique et d'un droit fondamental que l'intéressé et son groupe sont les premiers à malmener.
Le Printemps républicain s'assoit sur la présomption d'innocence, le droit de la défense et la liberté de la presse. Il justifie les violences policières. Il entend définir les droits et les devoirs des journalistes de façon très simple : être d'accord avec le Printemps républicain.
Ce dimanche à 14 h 30 se tient la première marche des fiertés en banlieue à Saint-Denis (place de la Résistance et de la Déportation). Voici un extrait de la charte liée à l'appel.
Le programme porté par Nathalie Loiseau et la liste Renaissance promet une plus grande indépendance des politiques par rapport aux lobbys privés. La politique française à l'Assemblée mondiale de la santé montre, s'il en était besoin, des pratiques opposées à ces promesses. Sachons nous le rappeler demain.
A l'Assemblée mondiale de la santé, la délégation française présidée par Agnès Buzyn trahit une nouvelle fois les malades et s'oppose à la Résolution Transparence (sur les prix du médicament) en prétextant des problèmes de procédure. Qui peut encore faire confiance à la ministre ?
Communiqué des Irrécupérables, qui salue la victoire de la mobilisation activiste : Agnès Buzyn apporte un soutien relatif à la résolution obligeant à une transparence sur les prix des médicaments. Mais le lobby pharmaceutique fait pression. Il faut donc rester mobiliser pendant la session de l'Assemblée mondiale de la Santé.
Par Mérôme Jardin
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L'ambassadrice française de la santé reste silencieuse alors qu'elle est interpelée depuis vendredi sur les pressions que la France exerce sur l'Assemblée Mondiale de la santé afin de tuer dans l’œuf une résolution garantissant la transparence sur les prix des médicaments. Ce dimanche, elle s'affiche à un colloque organisé par le lobby pharmaceutique.
Par Mérôme Jardin
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En janvier, Juan Branco affirmait à un journal d'extrême-droite que l'homophobie est réduite en France. Aujourd'hui, il soutient que la lutte contre l'homophobie le fait souffrir et prétend la régenter en lieu et place des concerné-es. Au prix d'une réécriture grotesque des luttes LGBTI, notamment de l'outing.