Certains mots ou expressions rappellent une anecdote et résument l’époque : « la montre Rolex avant cinquante ans », « La Princesse de Clèves et la guichetière », « les sans-dents »… Leurs associations et connotations disent l’essence d’un moment dans la vie du pays. Cruellement.
Alors qu’un billet de blog du 4 mars alertait : « La Maison des écrivains et de la littérature est en danger », ce matin, le Ministre de la Culture n’a pas eu un mot concernant la place de la littérature dans notre société.
La prise de parole de nombreuses femmes à la suite de l’affaire Weinstein ne cesse d’avoir des effets : il est maintenant question que le mouvement concerne aussi la place des femmes dans la hiérarchie catholique
Sébastien, un zadiste de NDDL, s’interroge pour savoir s’il serait vraiment inacceptable de permettre un autre genre de vie paysanne, communautaire, solidaire, « à part ». Sa question rejoint le rêve de Henry D. Thoreau au milieu du XIXe siècle.
On a connu les must de Cartier, puis il a été indispensable d’acheter une montre Rolex avant 50 ans, sous peine de révéler au monde que l’on avait raté sa vie. De nos jours, pour afficher sa classe, il faut posséder une …Autobiography !
Lorsque le débat devient frénétique, que les idées se fixent et les certitudes se pétrifient, il est rafraîchissant d’entendre un point de vue inédit, venu d’ailleurs et d’une autre époque.
À propos d’une nouvelle biographie d’Henry D. Thoreau qui réussit à décaper les idées reçues à son sujet, parce qu’elle s’appuie sur une recherche approfondie conduite à travers les témoignages de l’époque et sur une grande connaissance de l’œuvre.