On se demande bien pourquoi Patrice Bessac, maire communiste de Montreuil, tient tant à occulter l'histoire de Fernand Soupé, premier maire communiste de Montreuil de 1935 à 1939. Je viens de recevoir un texte éclairant sur le sujet. Le voici:
Le maelstrom survenu en Amérique nous force à constater, pour le moins, qu’un autoritarisme étatique, ou peut-être n’est-il pas faux de le dire, un néo-fascisme est en train de se répandre par la terre entière.
Samedi 29 octobre les députés socialistes d’Espagne s’abstiendront lors du vote d’investiture de Mariano Rajoy, chef d’une droite issue du franquisme, lui permettant ainsi de demeurer au pouvoir.
Le début du début ce fut le 15-M sur la Puerta del Sol. Puis vinrent les élections européennes de mai 2014 après la création du parti en mars. Heureuse surprise pour un parti qui, même s’il est enregistré comme tel pour pouvoir participer aux élections, n’est en réalité guère plus qu’un groupuscule plus ou moins gauchiste : cinq députés sont élus qui siègent désormais au parlement de Strasbourg.
Peu m'importe que des hommes et des femmes aillent par les rues et les plages couverts des pieds à la tête et que d’autres en ces mêmes lieux déambulent nus comme des nouveau-nés. Peu m’importe. Adepte du fameux et soixante-huitard aphorisme « il est interdit d’interdire ! » je ne reconnais à personne le droit d’imposer à qui que ce soit quelque code vestimentaire que ce soit.
A partir du 18 juillet 1936 Barcelone et la Catalogne sont « gouvernés » par des syndicalistes libertaires. En ce printemps 2016 la nouvelle maire de Barcelone rend un vibrant hommage à Federica Montseny, ministre anarchiste de la Santé dans le gouvernement de Largo Caballero et l’une des premières femmes ministre en Europe…
Inutile de tergiverser ! Inutile d’invoquer le « Brexit » ou je ne sais quelle « peur de l’inconnu » ou quoi encore ? Les causes de l’échec de Podemos aux élections de dimanche dernier sont à rechercher dans Podemos.
Porterait-il une cravate le soir du grand et seul débat à quatre précédant les élections générales du 26 juin ? Grave question qui en Espagne à fait couler beaucoup d’encre et a mobilisé les spécialistes en communication.
Voyons en effet si « unis nous pouvons ». Les prochaines élections générales du 26-J (26 juin) le diront. Ce qui n’avait pu se faire avant le scrutin du 20 décembre, cette union entre Podemos et IU (Izquierda unida) s’est réalisée miraculeusement le 13 mai 2016 en compagnie des écologistes de EQUO et a été annoncé Puerta del Sol...