En cette triste époque où les annonces officielles sur le Covid-19 rythment les informations quotidiennes au gré de l’apparition continue de nouveaux variants,
Nicolas Hulot, lui, dont la fondation porte le nom, l’animateur de l’émission Ushuaïa Nature, qui a fait voyager pendant de si longues années les téléspectateurs français de l’Okavango jusqu’au Kamtchatka, en passant par l’Amazonie des Zoés, l’infatigable globe-trotter, le chantre de la nature et le défenseur de la planète,
Le rapport de la commission Jean-Marc Sauvé sur les abus sexuels au sein de l’Église catholique évalue à au moins 216 000 les victimes en France d’abus sexuels de la part de prêtres sur une période de 70 ans.
Dans un article en date du 9 août 2021, intitulé « Emmanuel Macron, le président de la discorde », Edwy Plenel s’en prend une nouvelle fois au chef de l’État.
Deux cent mille citoyens ont manifesté samedi 31 juillet à travers toute la France leur opposition au passe sanitaire. Ce qui représente moins de 0,3 % de la population française.
Depuis que le coronavirus a mis à mal notre civilisation globale en en révélant les fragilités structurelles, la langue française, comme si elle aussi avait été atteinte par la pandémie, n’a de cesse de générer des aberrations linguistiques contagieuses.
La polémique issue de la tribune de militaires parue dans Valeurs actuelles 21 avril dernier a un côté surréaliste. Rappelons le le 21 avril 1961, soit 60 ans plus tôt, jour pour jour, eut lieu le putsch d’Alger fomenté par des généraux pour renverser le général de Gaulle.
Lors des « journées portes ouvertes » à Médiapart, mercredi 2 décembre, où le site était accessible à tous, Edwy Plenel a déclaré lors d’une visioconférence avec des journalistes de la rédaction : « Nous décrédibilisons la parole publique en révélant les dysfonctionnements de l’État dans sa gestion de la pandémie, son impéritie, ses mensonges (…)
Les mots ont un sens dont les médias mésusent. Une bavure, c’est ce qui déborde et laisse des traces. Comme une trace d’encre qui s’étale en débordant hors du motif d’une lettre lors de son impression. Une bavure policière, c’est une intervention policière qui déborde du strict cadre de la loi pour dégénérer en violence.