Les élections générales du 23 juillet en Espagne ont été particulièrement observées, dans un contexte d’inquiétude en France et en Europe pour le recul de la gauche et la montée du fascisme.
La récente dissolution des Soulèvements de la terre, et la façon dont elle a eu lieu, ont fait réfléchir à la chancelante santé démocratique du gouvernement Macron.
Ce 28 mai, le second tour des élections présidentielles en Turquie a donné la victoire à Erdogan, un président qui, après 21 ans au pouvoir, est en train de durablement marquer la Turquie. Il inquiète pour sa dérive autoritaire, alors même que la proximité de ce pays de l’Europe en fait un partenaire et que son évolution semble, par ailleurs, accompagner l’évolution générale du monde islamique.
Les mouvements sociaux qui ont parcouru la société française ces derniers mois ont posé avec plus d’acuité la question du rôle, des compétences et des attributions que doit avoir la police.
Il est désormais établi que l’eau est une ressource qui, à la suite du réchauffement climatique, viendra de plus en plus à nous manquer. Un problème face auquel le gouvernement Macron ne sait faire preuve que d’inconséquence et d’autoritarisme.
Les violences sexistes et sexuelles constituent un des outils du patriarcat pour instaurer la domination des femmes. Parmi elles, le viol utilisé comme arme de guerre et comme outil de déstructuration du social. Incorporer les hommes à sa mise en échec est d’autant plus important que, dans cette organisation malade du monde, ils sont supposés en être les bénéficiaires.
En septembre 2022, sous la direction d’I. Brey et de J. Drouar, paraît chez Seuil un recueil d’articles intitulé La culture de l’inceste. L’essai s’attaque aux causes d’une des violences les plus invisibilisées et le plus structurelles de nos sociétés : l’inceste.
Un nouveau scandale à propos de violences sexistes et sexuelles a éclaté dans le monde politique, cette fois dans les rangs de LFI. Il ne fait malheureusement pas figure d’exception au sein d’un gouvernement de la honte.
Un billet de conjoncture, toutes mes excuses… A la suite d’un très grave harcèlement subi depuis 2019 par jalousie intellectuelle aux mains d’un ensemble de militants de gauche, je souhaite aujourd’hui clore l’affaire par ce communiqué.
A la suite des manifestations citoyennes contre la construction de mégabassines supposées parer aux problèmes de sécheresses, Gérald Darmanin a brandi un nouveau concept, pour le moins contestable, « l’écoterrorisme ». Une façon d’aborder la question qui en dit long sur le rapport du pouvoir à l’urgence climatique.