Il y a quelques semaines, nous avions exprimé l’importance d’en finir avec le règne dominant d’Alexandre Vialatte dans la traduction de Kafka en donnant la parole à Jean-Pierre Lefebvre, qui a retraduit l’ensemble de l’œuvre pour la Pléiade. Mais voici Vialatte de retour, en savoureux chroniqueur à "La Montagne". Il arrive que le journalisme vieillisse moins vite que les traductions.
Faut-il tout montrer ? C’est l’enjeu du débat suscité par la publication de "Sexe, race et colonies", sous la direction de Pascal Blanchard, et dont rend compte Sonia Dayan-Herzbrun dans ce numéro.
Pas de polémique : à la Une de son numéro 66, En attendant Nadeau publie un article fouillé d’Odile Hunoult sur les "Grands poèmes" de Marina Tsvetaeva, traduits par Véronique Lossky.
En attendant Nadeau, en tant que revue en ligne, s’efforce d’accorder la place qui convient à la critique des revues. Aussi est-elle naturellement partenaire du Salon de la revue qui se tient les 9, 10 et 11 novembre 2018 à la Halle des Blancs-Manteaux, à Paris.
Du 31 octobre au 5 novembre se tient à Nantes la 19e édition des Utopiales, dont En attendant Nadeau rend compte au jour le jour. Dernier épisode en compagnie de Roland Lehoucq, président des Utopiales et astrophysicien.
Du 31 octobre au 5 novembre se tient à Nantes la 19e édition des Utopiales, dont En attendant Nadeau rend compte au jour le jour. Troisième épisode, le lendemain de la Toussaint, avec le "2001" de Kubrick, quatre questions à trois autrices et traductrices, et un beau paquet de lectures.
Du 31 octobre au 5 novembre se tient à Nantes la 19e édition des Utopiales, dont En attendant Nadeau rend compte au jour le jour. Deuxième épisode, le jour des morts, avec une table ronde sur la désextinction, une discussion entre Gérard Klein et Norman Spinrad, et une exposition : "Exoplanètes"
Du 31 octobre au 5 novembre se tient à Nantes la 19e édition des Utopiales, qui unissent science-fiction et sciences, faisant dialoguer écrivains, artistes, cinéastes, auteurs de bande dessinée, médecins et scientifiques, cette année sur le thème du corps.
La mise en scène du "Procès" par le metteur en scène polonais Krystian Lupa, présenté à Montpellier au printemps puis à Paris cet automne, propose lui aussi une lecture politique de Kafka, moins centrée sur l’arbitraire et l’autoritarisme que sur l’ambiguïté des comportements, et la création de nouvelles solidarités.