Les débats autour de la restructuration de la formation politique Podemos ont actualisé la question de la pertinence et de l'évolution de l'identification gauche/droite dans le cadre de stratégies électorales.
Quelque temps après le renouvellement de Mariano Rajoy à la tête du gouvernement de l’Espagne, la scène politique semble n’avoir rien perdu de la tension qui avait caractérisée les campagnes électorales.
Le retour en force des conservatismes un peu partout sur le globe entraîne, peut-il en être autrement ?, une mise en danger des droits des femmes qui s’est plus particulièrement fait sentir dernièrement.
On a récemment appris que débutait en Seine Saint-Denis la construction d’un campus engagée par l’UOIF. Les dons seront défiscalisées à 66%. Peut-être l’occasion de réfléchir à ce que d’autres voix ont déjà signalé : la nécessité de mieux de concilier les principes républicains d’égalité entre les hommes et les femmes et le « flou artistique » qui commence à entourer l’Islam.
Je reviens dans ce billet sur une expérience narratologique menée sur le réseau social Facebook entre mai et octobre 2016. Bien qu’ayant conscience que les lecteurs français n’auront pas pu la suivre, je traduis le texte au français, puisque je l'édite en espagnol, pour que ceux qui me suivent ici aient la possibilité de s’y intéresser, s’ils le souhaitent.
Plus de cent femmes assassinées en France tous les ans par leur compagnon ou ex-compagnon… Qu’est-ce que cet amour qui débouche sur un cauchemar ? Facile à détecter à ses débuts, cela reste troublant que l’institution ne se donne pas les moyens de l’éradiquer.
Le refus de mise en liberté conditionnelle de Jacqueline Sauvage est une mauvaise nouvelle, pour elle comme pour la valeur symbolique qui est la sienne.
A un moment où on ne porte plainte que pour 10% des viols, petite réflexion fictionalisée à propos des difficultés de porter plainte contre les violences psychologiques.