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Le précédent numéro avait été assez largement hivernal et russe ; celui-ci, tout en nous entraînant dans des ailleurs encore plus orientaux, avec notamment l’Azerbaïdjan de Shams de Tabriz et la Corée de Hwang Sok-yong, est résolument printanier.
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Maurice Mourier et Tiphaine Samoyault donnent leur lecture personnelle des "Misérables" à l’occasion de la nouvelle édition du roman dans la Pléiade ; Steven Sampson conduit un entretien surprenant avec l’Américain Alexander Maksic, d’Hemingway à Nirvana ; Claude Grimal présente "L’infinie patience des oiseaux" de David Malouf, l’œuvre d’un romancier australien de premier plan.
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La Russie est cette année l’invitée du "Livre Paris" (l’ex-Salon du livre), la Russie dont Nietzsche disait en 1888 qu’elle était "la seule puissance qui ait aujourd’hui l’espoir de la durée" et qui "puisse encore promettre quelque chose".
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La création de Lars Norén à la Comédie-Française, le dernier film de Hong Sang Soo, le roman hilarant d’Alexandre Brandy, la toponymie de l’île Maurice magnifiée par Nicolas Cavaillès, les publications de et autour de Germaine de Staël : le contenu sera augmenté, au cours de la quinzaine, d’articles sur Hélène Cixous, Mathieu Brosseau, Jean-Pierre Siméon et un entretien avec Robert Olen Butler.
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Deux ans, cinquante numéros d’En attendant Nadeau ! Pour fêter ces chiffres ronds, nous donnons lecture de l’évolution de notre aventure et de notre progression en rappelant ce qui est déjà une histoire.
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À l’occasion du centenaire de la mort d’Edgar Degas, le Musée d’Orsay offre plus de 250 œuvres précises, minutieuses : des peintures à l’huile, des pastels éblouissants, les crayons, les graphites, les fusains, les bronzes, les photographies.
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Trois semaines sépareront ce n° 49 d’En attendant Nadeau du n° 50, le temps de célébrer cet anniversaire et de rectifier le calendrier technique de nos parutions. Cependant des articles nouveaux ne manqueront pas d’arriver en différé sur le site pendant ce report technique, « en attendant ».
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Pour le présent numéro, un thème s’est imposé, comme une évidence, celui des déplacements : déportations, aventures lointaines, marches et marcheurs, migrations, réfugiés, pérégrinations, vagabonds, errances de toute nature.
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Dans ce numéro et au fil de la quinzaine, Kafka, Bärfuss, dont nous continuons à soutenir l’œuvre exigeante, l’immersion hilarante d’Anne Both dans des services d’archives – autre façon de réfléchir au passé (le côté hilarant, pas l’immersion dans les archives !), Joseph de Maistre, Goscinny… des dialogues, des images inoubliables.
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Un avion se pose sur un tableau de Monet comme un papillon sur une fleur. L’avion de Lindbergh se pose sur «La terrasse à Sainte-Adresse» de Monet et c’est la rencontre entre la violence de l’histoire et un art sans précédent : «Falaise des fous» de Patrick Grainville est un roman sidérant sur cette double déflagration, un roman qui est aussi plus qu’un roman, comme seul le roman peut l’être.