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Jean-Luc Mélenchon a réitéré sa démultiplication sur scène mardi 18 avril depuis Dijon, où son hologramme fut diffusé à Clermont-Ferrand, Grenoble, Montpellier, Nantes, Nancy et sur l’île de la Réunion.
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C’est curieux comme parfois la langue parle, comme elle dit des choses sur les gens, comment à travers des patronymes elle maintient vivace une tradition de métiers.
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Jacques Chirac a été le premier homme d’État français à reconnaître, le 16 juillet 1995, lors du 53ème anniversaire de la rafle du Vel d’Hiv (survenue en 1942), la responsabilité de l’État français dans la déportation des Juifs pendant la seconde guerre mondiale, et, par voie de conséquence, sa culpabilité de complicité d’extermination de Juifs avec le IIIe Reich.
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Le grand débat de la présidentielle 2017, organisé par BFMTV- CNEWS, mardi 4 mars 2017, a eu lieu.
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Il y a comme cela dans la vie des moments de grâce, où l’on goûte le pur plaisir de vivre, le bonheur d’être au monde, malgré le bruit et la fureur ailleurs, la misère et la laideur ambiantes. L’écoute du dernier disque du flamenquiste cordouan Vicente Amigo, « Memoria de los sentidos », sorti en 2017, fait partie de ces moments rares qui réconcilient avec le monde par sa merveille sonore.
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Heureusement que parfois des émissions intéressantes sur Arte permettent au citoyen de prendre un grand bol d’espace pour sortir de l’atmosphère étouffante qui règne en France où sévit actuellement une importante pollution atmosphérique dans le sillage d’une campagne présidentielle particulièrement terre-à-terre.
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Mardi 14 mars, devant la fédération nationale des chasseurs, François Fillon a déclaré être heureux de s’adresser à « de vrais chasseurs » dans une campagne où « les balles volent bas », laissant entendre qu’ailleurs il y avait de mauvais chasseurs qui ne savaient pas tirer.
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Le feuilleton Fillon, décidément, est sans fin. On vient d’apprendre par le JDD que le Sarthois aurait bénéficié pour près de 50 000 € en costumes sur-mesure depuis 2012, soit deux fois le salaire annuel d’un smicard.
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Il y a quelques jours, Martine Aubry, jamais avare de bons mots et de petites piques quand elle en a l’occasion, disait à propos du programme d’Emmanuel Macron dont tout le monde sait qu’il n’est pas dans ses petits papiers : « Quand c’est flou, j’ai l’habitude de dire qu’il y a un loup. Mais là, il y a beaucoup de flou, c’est une meute de loups. »
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Le dernier rassemblement place du Trocadéro ce dimanche à Paris sera-t-il le Waterloo de Napo-Fillon ?