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Les mains dans les poches

13 rédacteurs

À propos de l'édition

Actualité et grandes découvertes du livre de poche, des petits formats... Une vie d'poches... Grands textes, prix serrés. A nos plaisirs partagés.

"Sache que le Poche se peint

Selon1

les jours et les auteurs
Qu'il se repeint aussi parfois
Selon les modes et les humeurs" (Paul Fournel, Bibliothèque oulipienne)

"Mais à quoi bon détester quand on n'aura pas assez de toute sa vie pour lire les auteurs que l'on aime" (Annie François, Bouquiner)

  • Édition Les mains dans les poches

    Michaels, conteur ? menteur ?

    Par | 1 recommandé
    Les éditions Christian Bourgois poursuivent un travail de traduction et de (re)découverte de l’œuvre de Leonard Michaels : Sylvia et Conteurs, menteurs, parus en janvier 2010, Le Club en novembre 2010. Encore peu connu en France, salué par une critique unanime, Leonard Michaels, né en 1933 à New York et mort en 2003 à Berkeley, est considéré, aux USA, comme l’un des maîtres de la nouvelle. Ses textes sont «des diamants bruts, à lire et à relire», comme le souligne William Styron.
  • Édition Les mains dans les poches

    Adam Thirlwell s'évade

    Par | 3 commentaires | 1 recommandé
    Raphaël Haffner a 78 ans. Ancien banquier, il a partagé sa vie entre l’Europe et l’Amérique. «La statue de la Liberté à un bout, la Banque d’Angleterre à l’autre.
  • Édition Les mains dans les poches

    Trois hommes, deux chiens et une langouste

    Par | 5 commentaires | 5 recommandés
    Trois hommes, deux chiens et une langouste est un roman centré sur la question de l’emploi aux USA, la précarité, l’obligation de cumuler deux boulots pour seulement survivre, les petits arrangements avec la légalité des deux côtés du manche, chez les employeurs comme les employés.
  • Édition Les mains dans les poches

    Françoise Sagan, Toxique

    Par | 4 commentaires | 3 recommandés
    Françoise Sagan a commencé à se droguer «par accident», au sens propre comme figuré : «En été 1957, après un accident de voiture, je fus, durant trois mois, la proie de douleurs suffisamment désagréables pour que l’on me donnât quotidiennement, un succédané de la morphine appelé le ʺ875ʺ (palfium). Au bout de ces trois mois, j’étais suffisamment intoxiquée pour qu’un séjour dans une clinique spécialisée s’imposât. Ce fut un séjour rapide, mais au cours duquel j’écrivis ce journal que j’ai retrouvé l’autre jour».
  • Édition Les mains dans les poches

    Histoire de l'oubli

    Par | 7 commentaires | 5 recommandés
    «Parallèlement à ce monde, il en existe un autre. Certains endroits sont des points de passage».
  • Édition Les mains dans les poches

    Religion et religieux

    Par | 132 commentaires | 7 recommandés
    « La question de l’identité religieuse dans son rapport à la laïcité est plus actuelle que jamais en Europe
  • Édition Les mains dans les poches

    "Into the wild"

    Par | 35 commentaires | 2 recommandés
    Je ne savais pas ce que c'était. Je tenais un drôle d'objet dans les mains. Roman, reportage, rapport de police ? Je l'avais ouvert, posé, écarté, oublié. Puis, la longue nuit de l'hiver venue, écran éteint, écrivain étant, aussi, à la recherche de quelque chose qui me nourrisse, un message de la jeunesse à ma nuit venant : "Tu devrais lire ça ..."
  • Édition Les mains dans les poches

    No Smoking

    Par | 1 commentaire | 2 recommandés
    Parution en poche, chez Points, de l’avant-dernier roman du génial Will Self, The Butt : mégot, clope, mais aussi coup de tête, ou champ de tir. To butt in, s’immiscer. Un titre dont il est impossible de rendre la polyphonie en français, sinon par cet approximatif No Smoking.
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    Rideau de verre

    Par | 2 commentaires | 1 recommandé
    « Roman » affirme le sous-titre de Rideau de verre, pourtant placé sous le signe des inspirations autobiographiques de Sylvia Plath.
  • Édition Les mains dans les poches

    Juli Zeh, La Fille sans qualités

    Par | 7 commentaires | 1 recommandé
    La Fille sans qualités peut se lire comme un conte philosophique à entrées multiples. Ce titre choisi pour l’édition française évoque Robert Musil, L’Homme sans qualités bien sûr que lisent en classe les jeunes gens dont il va être question, mais aussi Les désarrois de l’élève Törless qui campait, dans un internat du début du XXe siècle, les souffrances morales d’un adolescent aux prises avec l’irruption de sa sexualité.